D'après cet ouvrage le juif est un homme que les autres tiennent pour juif, et n'a donc pas de consistance autre que celle que le regard d'autrui lui confère.
Sartre pensait que ce n'était ni leur passé, ni leur religion, ni leur sol qui unissaient les fils d'Israël, et que bien que le juif fût parfaitement assimilable, il se définissait comme celui que les nations ne voulaient pas assimiler.
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