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Critique de Alfaric
En 2620, la mission ANNEX 1 partie sur Mars récupérer des échantillons pour trouver un remède au virus Alien Engine continue, et ce malgré la séparation de ses 100 membres en 6 équipes avec l'activation du plan Delta, et ce malgré la trahison qui fait que chacune qu'entre elle tombe dans un piège…
Super force, super résistance, super vitesse, super vue, super ouïe, super odorat, maîtrise de l'électricité, du feu, du poison, vol ou régénération… On est clairement dans un univers super héroïque qui emprunte volontiers aux classiques des comics (et qui s'en moque à l'occasion ^^)… En plus des clins d'oeil manifestes, à l'image de ce que Nobuhiro Watsuki avait fait dans "Kenshin le vagabond", les connaisseurs vont s'amuser à retrouver les inspirations de tel ou tel personnage et à retrouver leurs équivalents chez DC ou Marvel.
Après s'être livrée à un récital martial à la "Hokuto no Ken", Michelle livre un combat sous l'eau contre le cafard amélioré en dytique tandis qu'Araki livre un combat dans les airs contre le cafard amélioré en sauterelle. le duo formé par les deux hybrides de nouvelle génération s'avère d'une redoutable efficacité car il gère l'affaire en 2 minutes chrono !
La suite du tome met à l'honneur l'équipe russo-scandinave soudé autour de leur officier Sylvester Asimov qui se bat pour sauver la vie de sa fille et de son petit-fils encore à naître, tous les deux infectés par le virus Alien Engine. Et les auteurs jouent avec nos nerfs avec un bon vieux truc de série B horrifique… mdr
La fin du tome est consacrée à l'équipe germano-sud-américaine qui découvre les restes calcinés de l'équipe sino-asiatique, avant de tomber sur une armée entière de cafards bien décidés à les exterminer jusqu'au dernier… (Elle ne joue pas de malchance, mais de traîtrise : salauds de SPOILERS !) Adolf Reinhard, l'homme électrique mélancolique classé n°2 au M.A.R.S. ranking prend la décision de protéger coûte que coûte son équipe qu'il considère comme sa nouvelle famille. Il s'avance seul vers la multitude… Alea Jacta Est !
Super force, super résistance, super vitesse, super vue, super ouïe, super odorat, maîtrise de l'électricité, du feu, du poison, vol ou régénération… On est clairement dans un univers super héroïque qui emprunte volontiers aux classiques des comics (et qui s'en moque à l'occasion ^^)… En plus des clins d'oeil manifestes, à l'image de ce que Nobuhiro Watsuki avait fait dans "Kenshin le vagabond", les connaisseurs vont s'amuser à retrouver les inspirations de tel ou tel personnage et à retrouver leurs équivalents chez DC ou Marvel.
Après s'être livrée à un récital martial à la "Hokuto no Ken", Michelle livre un combat sous l'eau contre le cafard amélioré en dytique tandis qu'Araki livre un combat dans les airs contre le cafard amélioré en sauterelle. le duo formé par les deux hybrides de nouvelle génération s'avère d'une redoutable efficacité car il gère l'affaire en 2 minutes chrono !
La suite du tome met à l'honneur l'équipe russo-scandinave soudé autour de leur officier Sylvester Asimov qui se bat pour sauver la vie de sa fille et de son petit-fils encore à naître, tous les deux infectés par le virus Alien Engine. Et les auteurs jouent avec nos nerfs avec un bon vieux truc de série B horrifique… mdr
La fin du tome est consacrée à l'équipe germano-sud-américaine qui découvre les restes calcinés de l'équipe sino-asiatique, avant de tomber sur une armée entière de cafards bien décidés à les exterminer jusqu'au dernier… (Elle ne joue pas de malchance, mais de traîtrise : salauds de SPOILERS !) Adolf Reinhard, l'homme électrique mélancolique classé n°2 au M.A.R.S. ranking prend la décision de protéger coûte que coûte son équipe qu'il considère comme sa nouvelle famille. Il s'avance seul vers la multitude… Alea Jacta Est !
