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Critique de Luneblanche
Quand je choisis un Gallmeister, je sens, je sais que je vais vibrer. Les auteurs choisis par cette maison d'édition ont une telle façon de décrire les comportements humains et leur psychologie que je reste rarement insensible. Et puis, bien sur les grands espaces américains comme toile de fond sont un dépaysement garanti.
Et voilà... « Le pouvoir du chien » n'échappe pas à la règle. J'ai littéralement fondu pour cette histoire. Malgré un début difficile, je dirais que ma lecture n'a fait que s'amplifier. Un vrai page-turner, comme une urgence de connaître cette histoire. Oui, un gros coup au coeur pour mon plus grand plaisir.
Montana, 1920
Pourtant timide et réservé, Georges Burbank s'est marié en secret et compte bien vivre au ranch avec sa femme Rose et son beau-fils Peter au plus grand désarroi de son frère Phil. Il faut dire que Phil a une forte personnalité et une certaine ascendance sur son frère. Alors vous pensez bien, l'arrivée d'une femme avec son rejeton ne peut qu'altérer cette relation. Ça prendra du temps, mais Phil compte bien ne pas en rester là. Seulement les personnalités au caractère imposant et écrasant n'ont pas toujours le dernier mot.
Difficile de vous en dire plus, juste que je n'ai pas vu venir le final. Sachez que les non-dits et la souffrance psychologique de Rose m'ont serré la gorge et mouillé les yeux.
Et voilà... « Le pouvoir du chien » n'échappe pas à la règle. J'ai littéralement fondu pour cette histoire. Malgré un début difficile, je dirais que ma lecture n'a fait que s'amplifier. Un vrai page-turner, comme une urgence de connaître cette histoire. Oui, un gros coup au coeur pour mon plus grand plaisir.
Montana, 1920
Pourtant timide et réservé, Georges Burbank s'est marié en secret et compte bien vivre au ranch avec sa femme Rose et son beau-fils Peter au plus grand désarroi de son frère Phil. Il faut dire que Phil a une forte personnalité et une certaine ascendance sur son frère. Alors vous pensez bien, l'arrivée d'une femme avec son rejeton ne peut qu'altérer cette relation. Ça prendra du temps, mais Phil compte bien ne pas en rester là. Seulement les personnalités au caractère imposant et écrasant n'ont pas toujours le dernier mot.
Difficile de vous en dire plus, juste que je n'ai pas vu venir le final. Sachez que les non-dits et la souffrance psychologique de Rose m'ont serré la gorge et mouillé les yeux.
