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Critique de Marcellina
Là, je suis scotchée…
Trois époques, trois femmes incomprises, trois vies et la première, la plus pure, la plus ancienne est la révélation.
C'est très bien écrit, plein de poésie et d'humanité, plein de tendresse et de générosité.
Les mots expriment ici une vérité qu'on recherche tous finalement, le sens de la vie ou encore l'amour absolu.
L'auteur nous parle de l'amour de la vie qui va jusqu'à l'amour de la mort, il nous raconte une vie de différence qui se transmet au fil des siècles et qui peut se traduire par le terme, trop religieux à mon goût, de résurrection.
Le terme m'est venu naturellement, il faut dire que j'ai assisté à un enterrement hier et que l'évocation d'un bateau qui quitte notre belle rive pour en aborder une autre lointaine et cachée où nos défunts nous attendent ne m'évoquait pas grand-chose. Mais ici, pas besoin de bateau, juste un arbre qui prend racine dans le ventre de la terre et dont les feuilles effleurent le ciel, un arbre qui rassemble et recueille et qui fait le lien entre les morts et les vivants.
Bon, je vais arrêter, l'auteur parle beaucoup mieux que moi :-)
Ah, j'ai oublié, le cadre de l'action, la vraie, la mystique, la profonde se déroule dans le béguinage de Bruges, un lieu unique où la paix se respire et où j'ai vu un cercle magique de champignons la fois où je l'ai visité :-)
C'était mon premier livre de cet auteur mais je n'en resterai pas là !
Trois époques, trois femmes incomprises, trois vies et la première, la plus pure, la plus ancienne est la révélation.
C'est très bien écrit, plein de poésie et d'humanité, plein de tendresse et de générosité.
Les mots expriment ici une vérité qu'on recherche tous finalement, le sens de la vie ou encore l'amour absolu.
L'auteur nous parle de l'amour de la vie qui va jusqu'à l'amour de la mort, il nous raconte une vie de différence qui se transmet au fil des siècles et qui peut se traduire par le terme, trop religieux à mon goût, de résurrection.
Le terme m'est venu naturellement, il faut dire que j'ai assisté à un enterrement hier et que l'évocation d'un bateau qui quitte notre belle rive pour en aborder une autre lointaine et cachée où nos défunts nous attendent ne m'évoquait pas grand-chose. Mais ici, pas besoin de bateau, juste un arbre qui prend racine dans le ventre de la terre et dont les feuilles effleurent le ciel, un arbre qui rassemble et recueille et qui fait le lien entre les morts et les vivants.
Bon, je vais arrêter, l'auteur parle beaucoup mieux que moi :-)
Ah, j'ai oublié, le cadre de l'action, la vraie, la mystique, la profonde se déroule dans le béguinage de Bruges, un lieu unique où la paix se respire et où j'ai vu un cercle magique de champignons la fois où je l'ai visité :-)
C'était mon premier livre de cet auteur mais je n'en resterai pas là !
