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Critique de Filox
C'est le titre qui a déclenché mon envie de lire « la vengeance du pardon «
Oxymore qui bloque la pensée ? Qu'est ce qui peux l'illustrer, lui donner son sens ou plutôt au pluriel ses sens ?
J'ai donc était emporté, par Éric-Emmanuel Schmitt, ce n'est pas la première fois ! Dans la découverte de situations, de personnes, de dilemmes, servis par la puissance renforcée par l’ originalité dans la manière d'écrire qui à la fois touche à notre universelle condition humaine dans ce qu'elle a de plus banal : les différents âges de la vie, les remords, les drames qui nous enferment, la solitude, les différentes pratiques de l'altérité.
Il y a tout cela et bien plus encore et des fulgurances, comme dans l’exposé des grands mythes.
De ces quatre nouvelles construites, autour de destins contrastés et puissamment décrits , je retiens comme dans les fables la « morale » indétachable du fil rouge « la vengeance du pardon ».
L'amour au fond triomphe, l'emporte en dernière extrémité, il dénoue l'écheveau inextricable des situations, à sa manière...
La dernière nouvelle, sous forme de conte en écho au « petit prince « de Saint-Exupery« en constitue le point d'orgue.
Je vous livre mon interprétation du sens profond qui c'est tout à fait personnel, sous-tend toute la richesse de ces nouvelles:
Attrapez la main qui vous sort , malgré vous, de votre solitude qui vous emmure, vous ne l'oublierez jamais et elle vous permettra de transmettre quelque chose de positif, de devenir à votre tour passeur d'amour sans attendre de retour, comme le coeur de la personne à qui appartient la main bien difficile à attraper car on ne la voit pas si facilement et pourtant elle éclaire ou éclairera votre vie ou le reste de votre vie...
Drôle de vengeance... pour le pardon ?
Je vous recommande fortement ce livre, chacun y verra sans doute d'autres choses en se plongeant, dans ce joli coffre rempli de multiples clés ...
Oxymore qui bloque la pensée ? Qu'est ce qui peux l'illustrer, lui donner son sens ou plutôt au pluriel ses sens ?
J'ai donc était emporté, par Éric-Emmanuel Schmitt, ce n'est pas la première fois ! Dans la découverte de situations, de personnes, de dilemmes, servis par la puissance renforcée par l’ originalité dans la manière d'écrire qui à la fois touche à notre universelle condition humaine dans ce qu'elle a de plus banal : les différents âges de la vie, les remords, les drames qui nous enferment, la solitude, les différentes pratiques de l'altérité.
Il y a tout cela et bien plus encore et des fulgurances, comme dans l’exposé des grands mythes.
De ces quatre nouvelles construites, autour de destins contrastés et puissamment décrits , je retiens comme dans les fables la « morale » indétachable du fil rouge « la vengeance du pardon ».
L'amour au fond triomphe, l'emporte en dernière extrémité, il dénoue l'écheveau inextricable des situations, à sa manière...
La dernière nouvelle, sous forme de conte en écho au « petit prince « de Saint-Exupery« en constitue le point d'orgue.
Je vous livre mon interprétation du sens profond qui c'est tout à fait personnel, sous-tend toute la richesse de ces nouvelles:
Attrapez la main qui vous sort , malgré vous, de votre solitude qui vous emmure, vous ne l'oublierez jamais et elle vous permettra de transmettre quelque chose de positif, de devenir à votre tour passeur d'amour sans attendre de retour, comme le coeur de la personne à qui appartient la main bien difficile à attraper car on ne la voit pas si facilement et pourtant elle éclaire ou éclairera votre vie ou le reste de votre vie...
Drôle de vengeance... pour le pardon ?
Je vous recommande fortement ce livre, chacun y verra sans doute d'autres choses en se plongeant, dans ce joli coffre rempli de multiples clés ...
