Sans un petit fond de connaissance sur le bouddhisme, je me demande ce qu'on pourrait bien saisir de ce conte tellement il est condensé, bâclé? le fonds est intéressant et les questions soulevées cruciales mais j'ai l'impression qu'il manque de chair autour de l'os. J'aime bien la concision, mais à ce point.... Un peu plus développée, cette fable m'aurait vraiment plu. Mais je reste sur mon appétit. C'est mon premier contact avec cet auteur et il s'agit ici du premier tome (le mot est ambitieux pour un si court texte) du « cycle de l'invisible » dont les autres opus sont nettement mieux cotés. Je vais donc en explorer au moins un autre, une sorte de deuxième chance. N'est-ce pas d'ailleurs un des enseignements de ce «
Milarepa »?
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