L'Europe, dit-elle, c'est un pays pauvre et épuisé. On parle de chômage, et chez nous, en Italie, de fascisme. On ne parle que de choses désagréables, et même de la prochaine guerre mondiale, bien que cela soit complètement absurde.
Suffisamment loin, dit Rubinson, pour tout oublier. Tout.