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Critique de fredbologsen
Encore un des livres pris à Montolieu, sans connaître l'auteur.
Petit problème, il n'apparaît nulle part qu'il s'agit du "Tome 3", et après avoir fini ce "Feu sur le royaume", le sentiment que j'en garde est celui d'une frustration, - et ce, tout au long de la lecture- frustration de n'avoir pas lu les deux premiers livres, et du coup d'avoir loupé quelque chose, et de n'avoir pas pu suivre l'histoire de façon complète, ni l'évolution des différents protagonistes et leurs rapports entre eux.
Le style de Gilles Sebhan est fluide, et certaines de ses phrases et métaphores suscitent de nombreuses images, et elles tranchent avec la noirceur intégrale de ce polar, dans lequel tous et toutes traînent leurs non-dits, leurs angoisses, leurs peurs, frustrations, mal-êtres et vieux démons; et ne parlons pas des vrais "malades", dans tous les sens du terme. Je n'ai d'ailleurs trouvé aucun personnage de "normal" ou tout simplement "heureux" de vivre dans cette histoire.
Fil conducteur, le nommé "Bauman", surnommé le tueur du Brabant, qui s'est évadé de prison et vient se venger. (Sebhan fait-il allusion aux fameux tueurs du Brabant qui ont défrayé la chronique avec leurs braquages sanglants en Belgique, et dans la province du Brabant, de 1982 à 1985?)
Sebhan utilise le style narratif, pas de dialogues, et les traits rares paroles prononcées par certains des protagonistes sont directement insérées dans la narration, en italiques, et sans ponctuation aucune, ce qui a pour effet d'accentuer le côté "trouble" du récit, et le rend davantage "dérangeant".
Je suis également surpris par le peu grand nombre de lecteurs de Babelio et par seulement les deux avis (même s'ils sont très positifs); pourtant Gilles Sebhan présente une quinzaine d'ouvrages.
Petit problème, il n'apparaît nulle part qu'il s'agit du "Tome 3", et après avoir fini ce "Feu sur le royaume", le sentiment que j'en garde est celui d'une frustration, - et ce, tout au long de la lecture- frustration de n'avoir pas lu les deux premiers livres, et du coup d'avoir loupé quelque chose, et de n'avoir pas pu suivre l'histoire de façon complète, ni l'évolution des différents protagonistes et leurs rapports entre eux.
Le style de Gilles Sebhan est fluide, et certaines de ses phrases et métaphores suscitent de nombreuses images, et elles tranchent avec la noirceur intégrale de ce polar, dans lequel tous et toutes traînent leurs non-dits, leurs angoisses, leurs peurs, frustrations, mal-êtres et vieux démons; et ne parlons pas des vrais "malades", dans tous les sens du terme. Je n'ai d'ailleurs trouvé aucun personnage de "normal" ou tout simplement "heureux" de vivre dans cette histoire.
Fil conducteur, le nommé "Bauman", surnommé le tueur du Brabant, qui s'est évadé de prison et vient se venger. (Sebhan fait-il allusion aux fameux tueurs du Brabant qui ont défrayé la chronique avec leurs braquages sanglants en Belgique, et dans la province du Brabant, de 1982 à 1985?)
Sebhan utilise le style narratif, pas de dialogues, et les traits rares paroles prononcées par certains des protagonistes sont directement insérées dans la narration, en italiques, et sans ponctuation aucune, ce qui a pour effet d'accentuer le côté "trouble" du récit, et le rend davantage "dérangeant".
Je suis également surpris par le peu grand nombre de lecteurs de Babelio et par seulement les deux avis (même s'ils sont très positifs); pourtant Gilles Sebhan présente une quinzaine d'ouvrages.
