Hier soir j'ai voulu commencer "
L'odeur des planches" de
Samira Sédira genre "Juste quelques pages avant de me coucher"... A deux heures du mat', je tournais la dernière page. Je ne peux même pas dire que j'ai dévoré ce livre : c'est lui qui m'a dévorée. Les mots de Samira qui disent la souffrance de l'exil de soi, les mots de Samira qui disent l'amour, qui disent le mépris, qui disent... Non ! Les mots de Samira ne disent pas : ils sont, ils caressent, ils coups de poings, ils percutent, ils font mal, ils.... Mais que puis-je en dire moi de ces mots, avec mes mots ? Simplement que "
L'odeur des planches" m'a remplie... Lisez-le ! Vraiment !
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