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Critique de sylvaine


le Café sans nom à nul autre pareil dans ce faubourg populaire viennois , non loin du marché des Carmélites , prend vie grâce à l'énergie et la détermination de Robert Simon. C' était un rêve de gamin qu'il peut enfin réaliser. Fini les travaux harassants dans le marché où il loue ses bras , nous sommes à l'automne 1966 , il a 26 ans .
le Café ouvre et bientôt, ceux qui poussent ses portes, s'y sentent chez eux.. Quel beau rêve enfin réalisé!
Robert, avec l'aide de Mila, observe, attentif , ces habitués.La vie s'écoule avec ses hauts et ses bas, ses amours et ses peines, ses cris et ses rires.
Voilà le Café sans nom dont j'ai poussé la porte. Je me suis laissée guidée par la plume de Robert Seethaler , une écriture sobre, précise , virulente ou tendre selon. Bientôt là comme ailleurs les années 70 et la frénésie du changement rayera de la carte ce quartier. Nous n'y sommes pas encore alors savourons cet interlude.
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