J'ai fortement apprécié la première partie qui m'a bien intéressé par rapport à l'ambiance de l'époque, les faits se passant à Vienne, et surtout, la psychologie de
Stefan Zweig. Par la suite, ce fut très déprimant, forcément, vu la fin de sa vie. Il fallait s'accrocher quand lui, il décrochait. Preuve s'il en fallait que
Laurent Seksik a réussi son pari haut la main.
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