![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik
Le malheur déteint sur nous et nous ravit notre force. Mais il faut trouver le courage d'agir.
|
Vous n'étiez pas à la rencontre avec Laurent Seksik à le Divan - Librairie pour parler avec lui de son premier roman jeunesse ? Qu'à cela ne tienne, il nous présente ici en vidéo 'La Folle Epopée de Victor Samson', paru récemment chez Flammarion Jeunesse. LIVRES DISPONIBLES ICI : https://bit.ly/3jehB5K Tous nos conseils de lecture ICI : https://www.librairie-ledivan.com/ Suivez le Divan sur les réseaux sociaux : Facebook : https://www.facebook.com/divanlibrairie/ Twitter : https://twitter.com/divanlibrairie Instagram : https://www.instagram.com/librairieledivan/
![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik
Le malheur déteint sur nous et nous ravit notre force. Mais il faut trouver le courage d'agir.
|
![]() |
Le cas Eduard Einstein de Laurent Seksik
Il se demande si le destin est écrit. Et s’il l’est parfois, imprimé dans les livres. Il songe que le destin s’amuse avec les hommes et qu’il se rit de lui. |
![]() |
Romain Gary s'en va-t-en guerre de Laurent Seksik
Mais, plus encore que Moscou, elle adorait Paris. Elle respirait le vent du soir en songeant à la France et se sentait transportée sur les Champs Élysées. Rien n’égalerait jamais Paris dans son esprit et dans son cœur. Sans jamais y avoir mis les pieds, elle se sentait déjà française. Quelle autre nation au monde serait prête à se déchirer pour l’honneur d’un capitaine juif ? Elle pensait à Dreyfus et elle aimait la France. Elle pensait à Paris et sa tristesse s’envolait.
|
![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik
Seul peut goûter la joie de contempler le monde Celui qui plus rien ne désire… Jamais la vie n’est plus étincelante et libre Qu’à la lumière du couchant. |
![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik
Il avait été l'auteur le plus lu dans le monde entier. Même s'il était convaincu d'avoir moins de talent que Thomas Mann ou que Schnitzler, que Rilke et bien sûr que Joseph Roth - et il ne croyait pas un mot des propos de Freud qui affirmait préférer son oeuvre à celle de Dostoïevski. Il était conscient de ses faiblesses, s'agaçait du schéma répétitif de ses nouvelles - cette technique du récit enchâssé dont il ne parvenait pas à se départir - et de l'issue irrémédiablement tragique de ses textes, héros et héroïnes achevant leur destinée dans la folie ou la mort. Il avait vendu soixante millions de livres. Il avait été traduit en trente langues, du russe au chinois en passant par le sanskrit. Ses biographies occupaient un coin de chaque bibliothèque de France, de Russie, des Etats-Unis et d'Argentine. Il avait été le librettiste de Richard Strauss. Il avait encouragé Hermann Hesse à ses débuts. Sans lui, Joseph Roth, enfoncé dans son désespoir, n'aurait jamais achevé sa Marche de Radetzky. + Lire la suite |
![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik
Mon amour règnera sur l'empire des ombres. Sans doute n'y a-t-il pas assez de lumière en ce bas monde pour qu'il voie mon vrai visage, mais le ciel suivant constellera d'étoiles où je saurai briller, où ma pâleur de spectre déploiera des charmes et des beautés insoupçonnables, oui, dans la vie éternelle se goûtent des douceurs que l'on ne peut saisir.
|
![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig (BD) de Laurent Seksik Vos livres sont comme des diamants éternels… vos livres nous parlent et vos livres nous racontent… vos livres ont la splendeur des âmes pures… vos livres sont comme la prière des hommes.. |
![]() |
La folle épopée de Victor Samson de Laurent Seksik
Un père n’est pas celui qui donne la vie, un père est celui qui donne l’amour.
|
![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik
Et puis était venu le prodige. Sa main avait retiré deux volumes des -Essais- de Montaigne. Sur la couverture était dessiné un portrait de Montaigne et ce fut comme si Montaigne lui souriait. Il avait pris les livres sous le bras, monté les marches quatre à quatre, s'était installé sous la véranda et avait commencé à lire, comme il l'aurait fait d'une lettre longtemps attendu d'un ami lointain. (p. 86)
|
![]() |
Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik
"Vous savez, les gens ont tort de ne plus acheter de costumes et de robes, il va falloir s'habiller le jour de la victoire. car nous allons gagner, je dis "nous", entendez le "Peuple du Livre". Que peut contre nous le Peuple qui brûle les Livres ?...(p. 33)
|
comment s'appelle le château ?