A travers plusieurs générations d'une famille juive de médecins, depuis Pavel qui exerce dans une bourgade russe, au tout début du 20e siècle, jusqu'à Léna cancérologue à Paris en 2015, l'auteur revient sur les horreurs de la shoah : humiliations, discriminations, errances, exil si l'on a pu éviter le pire.
Il est évident qu'entre le passé - traque des Juifs - et le présent - soucis d'une cancérologue confrontée à la maladie de son propre père - le récit est pesant.
A mon goût, "
l'exercice de la médecine" n'est pas le meilleur roman de
Laurent Seksik, mais j'ai aimé le personnage de Léna qui reflète la belle sensibilité de l'auteur envers qui je reste fidèle.
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