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Critique de evergreen13
Le chat qui aimait les oiseaux
En cherchant un livre riquiqui pour le challenge multi-défis je suis tombé sur cette histoire d'une mouette et d'un chat qui lui apprit à voler… Moi, vous me connaissez : le mot chat dans un titre m'attire inexorablement et un chat sur la couverture achève de me faire plonger dans la lecture d'un livre ! Lu très rapidement, ce très joli conte tendre et philosophique écrit par l'auteur pour ses enfants peut très bien convenir aussi pour un public adulte (la preuve !). J'ai beaucoup aimé la plume de Luis Sepúlveda (que je promets de découvrir plus avant dans un autre registre) et l'histoire de Zorbas le chat qui tient ses promesses (avec l'aide de plusieurs de ses congénères dont les noms sont des plus savoureux : Colonello et Secrétario qui vivent dans un restaurant italien, Jesaitout qui habite dans le bazar d'Harry et qui est un pro de l'encyclopédie) et d'Afortunada la petite mouette qui se prenait pour un chat (et comme chacun sait, les chats ne volent pas !).
En cherchant un livre riquiqui pour le challenge multi-défis je suis tombé sur cette histoire d'une mouette et d'un chat qui lui apprit à voler… Moi, vous me connaissez : le mot chat dans un titre m'attire inexorablement et un chat sur la couverture achève de me faire plonger dans la lecture d'un livre ! Lu très rapidement, ce très joli conte tendre et philosophique écrit par l'auteur pour ses enfants peut très bien convenir aussi pour un public adulte (la preuve !). J'ai beaucoup aimé la plume de Luis Sepúlveda (que je promets de découvrir plus avant dans un autre registre) et l'histoire de Zorbas le chat qui tient ses promesses (avec l'aide de plusieurs de ses congénères dont les noms sont des plus savoureux : Colonello et Secrétario qui vivent dans un restaurant italien, Jesaitout qui habite dans le bazar d'Harry et qui est un pro de l'encyclopédie) et d'Afortunada la petite mouette qui se prenait pour un chat (et comme chacun sait, les chats ne volent pas !).
