Le monstre n'est qu'une nouvelle parmi les 4 qui composent cet ouvrage. Il n'est pas trop représentatif de celui-ci car honneur est laissé à la gente féminine à travers la nouvelle 3 femmes et surtout l'homme qui n'avait pas de pouces.
Un vieux peintre de l'Ouest m'a également assez séduit dans le détournement et la manipulation d'un vieux peintre voulant que justice soit rétablie.
Au final, le monstre est le seul récit qui va faire appel au fantastique et qui rappelle que l'homme blanc est un monstre par son avidité de l'or.
Pour le reste, cela reste du bon Serpieri qui met en valeur son dessin et son art.
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