Démarrant «
Golden Gate», j'étais très partagée ;
On se moquait de moi, et quelle banalité !
Mais tant d'humour se niche dans ces rimes surannées,
Qui arrachent chaque ligne à la vulgarité.
Golden boy et guerre froide quasiment en fin de vie,
Relations amoureuses dont on sort meurtri,
Même une partie de Scrabble est rendue délicieuse,
Tragicomiques deviennent les scènes les plus odieuses.
Quand on le referme après cinq cent sonnets… sniff
Car oui, finalement, ce texte est bien jouissif.
Carpe diem de ce roman sera le mot de fin.
Délaissons notre hantise des alexandrins,
Et de la traduction saluons la prouesse,
C'est encore
Claro qui prouve sa hardiesse.