>
Critique de bdelhausse
Un grand merci aux éditions Riveneuve et à l'opération Masse Critique de juin 2019.
Cet ouvrage au titre à rallonge est la publication des actes d'un colloque consacré au traitement des extrémismes en Europe. Et lorsqu'on parle des extrémismes, on les envisage tous. de l'extrême-gauche à l'extrême-droite en passant par les mouvements nationalistes corses, bretons ou basques, sans oublier les mouvements religieux plus récents.
L'ouvrage se divise en 3 parties:
- un panorama de ce qui se fait en ce moment dans les pays européens, et on ne sera pas étonné de lire que la prévention et la déradicalisation sont des points prépondérants;
- un point de la question en France, où j'ai largement décroché, car peu familier avec le système carcéral, judiciaire ou policier français;
- une mise en perspective historique des extrémismes, abordant l'OAS, les problèmes de dissolution d'associations, ou l'engorgement du système judiciaire...
Je dois bien avouer avoir une préférence pour la 3è partie, plus vivante, plus intéressante et -osons le dire- mieux écrite que le reste. Car le sujet est abrupte et le rendre digeste et le vulgariser n'est pas à la portée de tout le monde. Preuve également que la science peut s'accommoder d'une écriture fluide et directe.
Cet ouvrage au titre à rallonge est la publication des actes d'un colloque consacré au traitement des extrémismes en Europe. Et lorsqu'on parle des extrémismes, on les envisage tous. de l'extrême-gauche à l'extrême-droite en passant par les mouvements nationalistes corses, bretons ou basques, sans oublier les mouvements religieux plus récents.
L'ouvrage se divise en 3 parties:
- un panorama de ce qui se fait en ce moment dans les pays européens, et on ne sera pas étonné de lire que la prévention et la déradicalisation sont des points prépondérants;
- un point de la question en France, où j'ai largement décroché, car peu familier avec le système carcéral, judiciaire ou policier français;
- une mise en perspective historique des extrémismes, abordant l'OAS, les problèmes de dissolution d'associations, ou l'engorgement du système judiciaire...
Je dois bien avouer avoir une préférence pour la 3è partie, plus vivante, plus intéressante et -osons le dire- mieux écrite que le reste. Car le sujet est abrupte et le rendre digeste et le vulgariser n'est pas à la portée de tout le monde. Preuve également que la science peut s'accommoder d'une écriture fluide et directe.
