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Critique de gwendal
A la fin des années 50, Akihito, jeune garçon très vivant, est confié par sa maman, qui n'a plus les moyens d'élever deux enfants en ville, à sa grand-mère qui vit à la campagne. Pas facile à cet âge de changer d'environnement.
Le pitch est super simple mais heureusement le développement n'est pas simpliste pour un sou.
Pour la forme, c'est un dessin plutôt old school de qualité (ça m'a rappelé les mangas ou animés des années 80) et une narration par petits chapitres en mode tranche de vie.
Et de vie, il n'est question que de ça dans ce manga. La vie d'un écolier d'une famille pauvre à la campagne à cette époque. La vie avec ses hauts et ses bas, parfois très bas, mais toujours avec une vision positive, la tête levée, sans honte. Tout cela grâce à la philosophie de vie de cette sacrée mamie. Apprendre la récup, comment se passer des choses qu'on a pas, aider les moins bien lotis, gruger un peu les organismes d'état (mais pas trop car l'honnêteté c'est important). Tout cela avec beaucoup d'amour, même s'il ne faut pas le montrer. La relation de ce petit bonhomme et de sa mamie est juste magique. A cela s'ajoute la camaraderie (Nanri le fidèle des fidèles) et les histoires entre gamins du même âge, avec les rivalités les jalousies. Ça faisait un bail que je n'avais pas reçu autant d'ondes positives en lisant un manga où tout n'est pas forcément rose.
Pas de doute je suis parti pour un joli voyage dans la campagne japonaise des 60's pour un petit moment et avec un plaisir non dissimulé.
Pour info je lis la réédition en numéro double qui vient de sortir et pour ceux qui se posent la question il n'y a rien de plus que dans la précédente édition.
Le pitch est super simple mais heureusement le développement n'est pas simpliste pour un sou.
Pour la forme, c'est un dessin plutôt old school de qualité (ça m'a rappelé les mangas ou animés des années 80) et une narration par petits chapitres en mode tranche de vie.
Et de vie, il n'est question que de ça dans ce manga. La vie d'un écolier d'une famille pauvre à la campagne à cette époque. La vie avec ses hauts et ses bas, parfois très bas, mais toujours avec une vision positive, la tête levée, sans honte. Tout cela grâce à la philosophie de vie de cette sacrée mamie. Apprendre la récup, comment se passer des choses qu'on a pas, aider les moins bien lotis, gruger un peu les organismes d'état (mais pas trop car l'honnêteté c'est important). Tout cela avec beaucoup d'amour, même s'il ne faut pas le montrer. La relation de ce petit bonhomme et de sa mamie est juste magique. A cela s'ajoute la camaraderie (Nanri le fidèle des fidèles) et les histoires entre gamins du même âge, avec les rivalités les jalousies. Ça faisait un bail que je n'avais pas reçu autant d'ondes positives en lisant un manga où tout n'est pas forcément rose.
Pas de doute je suis parti pour un joli voyage dans la campagne japonaise des 60's pour un petit moment et avec un plaisir non dissimulé.
Pour info je lis la réédition en numéro double qui vient de sortir et pour ceux qui se posent la question il n'y a rien de plus que dans la précédente édition.
