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Critique de JeromeJeanJacques
Le poids des secrets est une oeuvre sur les moeurs japonaises pendant la seconde guerre mondiale.
Son originalité réside dans la structure, les cinq tomes qui la composent décrivent la même histoire, du point de vue d'un personnage différent. Chaque personnage aura une incidence sur la vie d'un autre ; d'une façon, ils se croisent tous. Les histoires individuelles gravitent autour de l'explosion de la bombe de Nagasaki.
Chaque livre peut se lire indépendamment, et de cette manière ils permettent d'aborder l'histoire globale par n'importe quel bout. Comme chaque personnage voit les événements à sa façon, nous pouvons démarrer la fresque avec un aperçu différent. Plusieurs interprétations sont possibles dès le début, mais il s'agit du même tableau final.
Plus nous avançons le fil des livres, plus le tableau d'ensemble s'éclaircit et les vies de chacun nous paraissent cohérentes.
La guerre est un sujet de second plan, elle est traitée comme contexte, pour illustrer le conditionnement social de la population, les politiques de natalité, le patriotisme, le sacrifice des soldats… Ajoutons à cela, les coutumes nippones, qui dévoilent une perception différentes des comportements humains.
Aki Shimazaki a choisi plusieurs catégories sociales et sexuelles pour avoir la meilleure vision d'ensemble, de ce que cela signifiait d'être Japonais en 1945. Sans détours inutiles, d'une plume légère, la chronologie de la défaite Japonaise vécue par les civils.
Son originalité réside dans la structure, les cinq tomes qui la composent décrivent la même histoire, du point de vue d'un personnage différent. Chaque personnage aura une incidence sur la vie d'un autre ; d'une façon, ils se croisent tous. Les histoires individuelles gravitent autour de l'explosion de la bombe de Nagasaki.
Chaque livre peut se lire indépendamment, et de cette manière ils permettent d'aborder l'histoire globale par n'importe quel bout. Comme chaque personnage voit les événements à sa façon, nous pouvons démarrer la fresque avec un aperçu différent. Plusieurs interprétations sont possibles dès le début, mais il s'agit du même tableau final.
Plus nous avançons le fil des livres, plus le tableau d'ensemble s'éclaircit et les vies de chacun nous paraissent cohérentes.
La guerre est un sujet de second plan, elle est traitée comme contexte, pour illustrer le conditionnement social de la population, les politiques de natalité, le patriotisme, le sacrifice des soldats… Ajoutons à cela, les coutumes nippones, qui dévoilent une perception différentes des comportements humains.
Aki Shimazaki a choisi plusieurs catégories sociales et sexuelles pour avoir la meilleure vision d'ensemble, de ce que cela signifiait d'être Japonais en 1945. Sans détours inutiles, d'une plume légère, la chronologie de la défaite Japonaise vécue par les civils.
