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Critique de CaroleBouchut


Le titre, lui seul, avant lecture et ouverture du livre, a fini par m'amener à l'esprit « l'image » de la première fois où j'ai vu un clip de Sia, où j'ai été littéralement subjuguée, interloquée et fascinée par les capacités de langage du corps d'un côté, les capacités des danseurs à « faire parler » leurs corps, à leur faire raconter, peindre et faire faire vivre une « histoire »...
Avant d'en commencer la lecture, je précise qu'avec ce livre emprunté mes pas et mes yeux m'ont amenée à choisir un autre livre à emprunter : du contre-transfert corporel - Une clinique psychothérapique du corps de Catherine Potel, que je lirai après celui-ci. Je précise aussi qu'entre le début de la lecture de ce livre de Monsieur Sibony et la fin de lecture de celui de Madame Zajde (emprunté), j'ai lu 2 chapitres du livre (m'appartenant) d'un livre d'Oliver Sacks actuellement toujours en cours de lecture entre les emprunts des autres livres.
Après cette toute petite partie du contexte « péri- » et « épi- » lecture, je m'en vais commencer mes déambulations aux creux de ces pages...

Lecture aux débuts difficilement captivante ou accrochante pour en devenir totalement soporifique. Gros efforts de volonté pour trouver matière à ne pas en abandonner la lecture, tellement l'assemblage de mots de ce livre est loin de l'espace de liberté curieuse engendré par « l'image » des danseurs de Sia. Finalement, abandon par KO avant la fin de cette journée du premier août 2019. Comme pour le livre suivant. J'ai été bien incapable ce jour-là.
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