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Critique de lauradesmots
Coup de coeur pour le premier volet d'Emblèmes !
Poussez la porte du Manoir des Aigremort et jamais vous n'en sortirez l'âme et le coeur indemnes.
Pays d'oxymores et de naturalisme, ce premier tome m'a complètement happée ; son envoûtement est puissant car je l'ai terminé il y a un mois et il me hante encore l'esprit.
La faute, je crois, à son incroyable ambiance toute en clair-obscurs, osseuse et moussue, vibrante, ses frissons nichés au creux des sous-bois, cette atmosphère rendue étonnamment palpable par une très belle plume, ciselée, texturée, captivante.
La faute aussi à ses personnages terribles, d'une profondeur affolante et surtout à Erèbe, oh ! comme je pense encore à lui, comme j'ai envie de rouvrir le roman pour plonger dans ses pages et le prendre dans mes bras ! Cela faisait bien longtemps, je crois, que je ne m'étais pas autant attachée à un personnage.
Que je ne m'étais pas sentie réellement investie dans une relation telle celle d'Erèbe et Cecilia - une romance esquissé, une amitié slow, slow burn, qui brûle et qui console.
J'ai refermé ce livre la tête emplie d'images de forêts, de cerfs chimériques, d'éclats de cauchemars et de visions de cabinets de curiosités.
Côté intrigue, c'est joliment ficelé et, si ce premier tome prend son temps, il promet un second volet explosif, laissant chaque élément se préparer à l'envol, comme l'eau sur le point de bouillir.
Je ne peux que recommander ce roman infusé de green academia, de personnages brisés et d'intrigues imbriquées, que ce soit pour un public adulte ou jeune adulte. Et moi, je ronge mon frein pour la suite !
Poussez la porte du Manoir des Aigremort et jamais vous n'en sortirez l'âme et le coeur indemnes.
Pays d'oxymores et de naturalisme, ce premier tome m'a complètement happée ; son envoûtement est puissant car je l'ai terminé il y a un mois et il me hante encore l'esprit.
La faute, je crois, à son incroyable ambiance toute en clair-obscurs, osseuse et moussue, vibrante, ses frissons nichés au creux des sous-bois, cette atmosphère rendue étonnamment palpable par une très belle plume, ciselée, texturée, captivante.
La faute aussi à ses personnages terribles, d'une profondeur affolante et surtout à Erèbe, oh ! comme je pense encore à lui, comme j'ai envie de rouvrir le roman pour plonger dans ses pages et le prendre dans mes bras ! Cela faisait bien longtemps, je crois, que je ne m'étais pas autant attachée à un personnage.
Que je ne m'étais pas sentie réellement investie dans une relation telle celle d'Erèbe et Cecilia - une romance esquissé, une amitié slow, slow burn, qui brûle et qui console.
J'ai refermé ce livre la tête emplie d'images de forêts, de cerfs chimériques, d'éclats de cauchemars et de visions de cabinets de curiosités.
Côté intrigue, c'est joliment ficelé et, si ce premier tome prend son temps, il promet un second volet explosif, laissant chaque élément se préparer à l'envol, comme l'eau sur le point de bouillir.
Je ne peux que recommander ce roman infusé de green academia, de personnages brisés et d'intrigues imbriquées, que ce soit pour un public adulte ou jeune adulte. Et moi, je ronge mon frein pour la suite !
