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Critique de Esorlecram
Encore des fantômes dans ce roman, mais ils ne sont présents que dans l'imagination des Islandais et n'interfèrent en rien dans l'énigme. Ouf!
Ceci dit, Sigurdardottir réussit encore à accrocher le lecteur au fil des pages. Deux meurtres ont été commis près de l'hôtel de Jonas, hôtel un peu particulier qui offre des services occultes. Jonas est suspecté et fait appel à une avocate, Thora, pour le défendre. Celle-ci est le personnage central de l'intrigue, qu'on relie vite à la disparition d'une petite fille longtemps auparavant.
le suspense grandit mais patatras, comme d'habitude, la fin du roman dévoile une série impressionnante de faits peu crédibles: le coupable "probable" change à chaque page et la fin est quelque peu frustrante.
Mais c'est promis: à ma prochaine lecture d'un policier islandais, je me munirai d'un papier et d'un crayon pour bien noter qui est qui, car les noms islandais ont toujours l'air de se ressembler!
Ceci dit, Sigurdardottir réussit encore à accrocher le lecteur au fil des pages. Deux meurtres ont été commis près de l'hôtel de Jonas, hôtel un peu particulier qui offre des services occultes. Jonas est suspecté et fait appel à une avocate, Thora, pour le défendre. Celle-ci est le personnage central de l'intrigue, qu'on relie vite à la disparition d'une petite fille longtemps auparavant.
le suspense grandit mais patatras, comme d'habitude, la fin du roman dévoile une série impressionnante de faits peu crédibles: le coupable "probable" change à chaque page et la fin est quelque peu frustrante.
Mais c'est promis: à ma prochaine lecture d'un policier islandais, je me munirai d'un papier et d'un crayon pour bien noter qui est qui, car les noms islandais ont toujours l'air de se ressembler!
