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Critique de Catherinedenanc


J'en suis à la page 50 et j'ai l'impression de lire un manuel destiné à un jeunot qui veut devenir un bon flic, tout ce qu'il ne faut pas faire (les autres) et ce qu'il faut faire, ce que fit l'auteur, ancien flic à la « crime » du 36 quai des Orfèvres, dont il garde un excellent souvenir, puis muté à Dijon pour terminer sa carrière à Chalon-sur-Saône.
Mon premier sentiment est que l'auteur n'est pas vraiment un écrivain ! Qu'il a beaucoup « bénéficié » des talents de sa « plume » Catherine Siguret. Je continue ma lecture en espérant que la suite sera moins didactique et que le polar va rentrer dans le vif du sujet….
En fait page 185, enfin je réalise que ce N'EST PAS UN POLAR. C'est une autobiographie, un genre très difficile à manier selon moi car trop personnel, surtout quand l'auteur éprouve une telle frustration vis-à-vis de sa hiérarchie et même de ses collègues particulièrement à Dijon. Là où, pourtant il s'illustre par son travail acharné, à l'élucidation de deux cas datant des années 80 qui ont laissés les familles inconsolables avec le sentiment (légitime) que les autorités policières et judiciaires ont mal fait leur travail. le récit est émaillé de réflexions philosophicoreligieuses qui alourdissent le texte.
Raphaël Nedliko doit certainement se sentir mieux d'avoir couché sur le papier sa rancoeur et ses frustrations compréhensibles. Je ne pense pas que cette lecture mène à des vocations. Pour ma part j'ai été déçue car la personne qui m'en a conseillé la lecture me l'a présenté comme un polar. Lecture Néanmoins intéressante et instructive.
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