On retrouve l'espion Gabriel Allon - héros récurrent de
Daniel Silva - restaurateur d'art à ses heures, dans une nouvelle aventure qui décoiffe à fond la caisse.
On peut dire que même au sein de sa retraite vénitienne, ce dernier ne chôme pas puisque l'on vient pratiquement le "supplier" de s'attaquer, mais, surtout démanteler un vaste réseau de faux tableau, sévissant à l'échelle internationale, et, mener d'une main de maître par un faussaire hors paire.
On ne s'ennuie guère tout au long de la lecture. de multiples rebondissements émaillent le texte, empêchant ainsi aux amateurs de
Daniel Silva et autres polars en général, de souffler un peu. On repart aussi sec vers autre chose, d'autres pistes.
De courts chapitres, de nombreux dialogues font que l'on plonge rapidement dans le coeur de l'action. Cette nouvelle mission de Gabriel Allon s'apparente à une véritable course poursuite contre la montre afin d''empêcher de nuire le plus vite possible ce faussaire doué au sein des galeries d'art et musées internationaux.
Un polar d'été pas désagréable du tout ainsi que pas transcendant. Il a l'avantage de se lire facilement et rapidement avant de passer à d'autres lectures. Il est vrai que la curiosité aidant, on a envie de connaître le fin mot de l'énigme.
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