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Critique de Cielvariable
J'aurais bien voulu adorer ce roman, car j'étais conquise à la lecture du résumé grâce à l'idée de départ: deux personnages apprennent qu'ils vont vivre leur dernière journée à cause d'un appel téléphonique du Death-Cast, une agence qui avise rapidement les gens qu'il leur reste moins de 24h de vie, afin qu'ils puissent faire leurs adieux à leurs proches et à la vie - et on le sait dès le départ - car l'intérêt est de suivre tout ce que les personnages vont réussir à vivre lors de cette dernière journée pour le moins exceptionnelle. Personne ne sait qui se cache derrière Death-Cast, ni comment cette entreprise reçoit ses informations, ni comment les personnes sur le point de de mourir sont ciblées. Toutefois, toutes celles qui ont reçu l'appel de Death-Cast sont bel et bien mortes moins de 24 heures plus tard. Dès les premiers (courts) chapitres, on assiste à l'appel que reçoivent Matéo et Rufus, deux inconnus de 18 et 19 ans qui apprennent qu'ils vont mourir.
C'est après que ça devient inintéressant. Les 200 premières pages sont longues à mourir (sans vouloir faire de mauvais jeux de mots). le lecteur s'ennuie au lieu d'être intrigué, il ne s'identifie pas aux personnages puisque ceux-ci ne sont ni assez approfondis ni assez sympathiques pour que ce soit le cas. J'ai quand même persisté, car j'ai lu un très grand nombre de critiques très élogieuses par rapport à ce roman, je me suis dit qu'il fallait peut-être absolument le terminer pour en connaître les qualités. Je m'attendais à une certaine révolte de la part des personnages (ou au moins des essais pour éviter la mort), mais ils sont étonnamment lents à réellement réagir.
J'ai davantage apprécié les 200 dernières pages, où tout à coup il se passe enfin quelque chose. Les personnages ont une volonté de vivre à 100 à l'heure pour ne pas mourir seuls, perdus, désespérés et emplis de regrets. On les voit "vivre" et évoluer de belle manière. Il y a même un "punch" final (qui n'est pas la mort ou la non-mort des personnages, car cela est clair dès le début: ils meurent à la fin!) Malheureusement, je n'arrive pas à ressentir de l'empathie pour les personnages, que je n'ai pas réussi à aimer (pas même un peu), donc je ne ressens pas les émotions que je crois que l'auteur a voulu provoquer chez le lecteur.
Je crois que ce devait être une belle histoire d'amour et d'amitié, une belle fable sur le fait de profiter de la vie pleinement... Je ne conseille malheureusement pas cette lecture.
C'est après que ça devient inintéressant. Les 200 premières pages sont longues à mourir (sans vouloir faire de mauvais jeux de mots). le lecteur s'ennuie au lieu d'être intrigué, il ne s'identifie pas aux personnages puisque ceux-ci ne sont ni assez approfondis ni assez sympathiques pour que ce soit le cas. J'ai quand même persisté, car j'ai lu un très grand nombre de critiques très élogieuses par rapport à ce roman, je me suis dit qu'il fallait peut-être absolument le terminer pour en connaître les qualités. Je m'attendais à une certaine révolte de la part des personnages (ou au moins des essais pour éviter la mort), mais ils sont étonnamment lents à réellement réagir.
J'ai davantage apprécié les 200 dernières pages, où tout à coup il se passe enfin quelque chose. Les personnages ont une volonté de vivre à 100 à l'heure pour ne pas mourir seuls, perdus, désespérés et emplis de regrets. On les voit "vivre" et évoluer de belle manière. Il y a même un "punch" final (qui n'est pas la mort ou la non-mort des personnages, car cela est clair dès le début: ils meurent à la fin!) Malheureusement, je n'arrive pas à ressentir de l'empathie pour les personnages, que je n'ai pas réussi à aimer (pas même un peu), donc je ne ressens pas les émotions que je crois que l'auteur a voulu provoquer chez le lecteur.
Je crois que ce devait être une belle histoire d'amour et d'amitié, une belle fable sur le fait de profiter de la vie pleinement... Je ne conseille malheureusement pas cette lecture.
