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Critique de moravia


Tout le monde a rêvé de connaitre l'avenir. Ce serait bien pratique pour jouer en bourse ou au loto.
Bien pratique quand on sait à l'avance le nom du futur chef de l'État pour faire de la politique.
C'est ainsi que Lew Nichols utilise son art de conjecturer pour mener Paul Quinn aux plus hautes responsabilités du pays.
Mais son savoir n'est pas complet. Sa rencontre avec Carjaval, l'homme stochastique, celui qui sait tout, celui qui VOIT, va le conduire encore plus loin.
Connaître les circonstances et la date exacte de sa mort, sans n'y pouvoir rien changer est-ce vivable ?
Avec ce dilemme Robert Silverberg a réalisé encore une fois un passionnant roman aux accents philosophiques.
Seule la conclusion, qui me semble précipitée, m'a empêché de mettre cinq étoiles.
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