>
Critique de Presence
Évidemment ce tome est la suite de "Church & State" et je vous déconseille de lire celui-ci sans avoir lu celui-là. Cerebus revient à Iest et utilise des canons pour reprendre le dessus sur Thrunk et se réaccaparer la papauté. Les pièces d'or offertes à Cerebus commencent à avoir un comportement étrange.
Cerebus divorce de Red Sophia, se marie avec Astoria, consomme le mariage et divorce aussitôt après. Il juge Astoria pour le meurtre du pape de l'Ouest (le Lion de Serrea) ce qui provoque d'étranges résonances temporelles. Il effectue l'Ascension et rencontre un personnage (étrange croisement de Uatu le Watcher de Marvel et Jules Feiffer) qui lui raconte l'origine de l'univers (première version de la création selon Dave Sim), et qui lui révèle le futur de l'humanité, ainsi que son propre avenir. Voilà pour la trame narrative, excusez du peu.
Encore une fois, il est impossible de réduire l'extraordinaire foisonnement d'idées et l'ampleur de l'univers de Cerebus en quelques lignes. Une liste d'exemples choisis de manière très partiale et orientée peut donner un aperçu de la richesse des thèmes et des situations.
On croisera ainsi SecretWarRoach (une parodie de "Secret Wars" de Marvel), une parodie très drôle du Batman de Frank Miller dans The Dark Knight Returns), le retour de Fred et Ethel (versions féminisée de Man-Thing et Swamp Thing), Keith Richards et Mike Jagger, un viol insoutenable (bien que toutes les cases d'illustration soient entièrement noires), le motif récurrent de "something fell", un deuxième aardvark, l'apparition surréaliste de Flaming Carrot (héros de comics underground créé par Bob Burden)...
Avec ce tome, Dave Sim mène à son terme la première ascension de son personnage principal (le terme de héros semble inapproprié). Cerebus est devenu le maître du monde, tant sur le plan temporel que spirituel... et il n'a rien compris à ce qui lui est arrivé. Sa compréhension de la réalité est trop limitée et trop égocentrique. Il aura besoin d'un temps de réflexion et de repos dans Jakas Story avant de pouvoir retrouver une direction dans sa vie.
Cerebus divorce de Red Sophia, se marie avec Astoria, consomme le mariage et divorce aussitôt après. Il juge Astoria pour le meurtre du pape de l'Ouest (le Lion de Serrea) ce qui provoque d'étranges résonances temporelles. Il effectue l'Ascension et rencontre un personnage (étrange croisement de Uatu le Watcher de Marvel et Jules Feiffer) qui lui raconte l'origine de l'univers (première version de la création selon Dave Sim), et qui lui révèle le futur de l'humanité, ainsi que son propre avenir. Voilà pour la trame narrative, excusez du peu.
Encore une fois, il est impossible de réduire l'extraordinaire foisonnement d'idées et l'ampleur de l'univers de Cerebus en quelques lignes. Une liste d'exemples choisis de manière très partiale et orientée peut donner un aperçu de la richesse des thèmes et des situations.
On croisera ainsi SecretWarRoach (une parodie de "Secret Wars" de Marvel), une parodie très drôle du Batman de Frank Miller dans The Dark Knight Returns), le retour de Fred et Ethel (versions féminisée de Man-Thing et Swamp Thing), Keith Richards et Mike Jagger, un viol insoutenable (bien que toutes les cases d'illustration soient entièrement noires), le motif récurrent de "something fell", un deuxième aardvark, l'apparition surréaliste de Flaming Carrot (héros de comics underground créé par Bob Burden)...
Avec ce tome, Dave Sim mène à son terme la première ascension de son personnage principal (le terme de héros semble inapproprié). Cerebus est devenu le maître du monde, tant sur le plan temporel que spirituel... et il n'a rien compris à ce qui lui est arrivé. Sa compréhension de la réalité est trop limitée et trop égocentrique. Il aura besoin d'un temps de réflexion et de repos dans Jakas Story avant de pouvoir retrouver une direction dans sa vie.
