Le mois d'octobre s'accrochait à l'été et tenait le froid à distance. De là à croire que l'hiver ne se pointerait jamais, il n'y avait qu'un pas que les plus rêveurs franchissaient gaiement.
Le jeune homme avait trouvé sa place. Il pratiquait un art qui le passionnait et qui lui permettait de se dépasser sans jamais cesser d'apprendre. Il appartenait désormais à la confrérie des ébénistes, ces orfèvres du bois, le matériau le plus noble qui soit.