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Critique de LoupAlunettes
L'occasion est toujours bonne pour présenter le travail de Isabelle Simler dès qu'elle peut se présenter.
Toujours prêt pour des explorations des merveilles naturelles, aiguiser son oeil d'admirateur scientifique et plonger dans son univers onirique.
Tout ceci s'est toujours vérifier avec son invitation au Musée la nuit, dans les bleus nocturnes de la faune sylvestre où nous étions aussi conviés à nous promener, dans les intérieurs et extérieurs lumineux caressés par son ami le chat ou dans les poches vidés de ses amis des Contes de Fées.
"Des vagues" ne fera pas défaut et la couverture de l'album donnera amplement raison.
Nous plongeront dans une mer bleu turquoise remplis d'animaux marins tous divers. Les tailles, les formes, les écailles peintes de couleurs concourent d'élégance et d'originalité.
Toujours dans un intention ludique conjuguée, Isabelle ouvre à la devinette, comme avec Plume, les rencontres marines nous font nous interroger sur le narrateur encore une fois et sur la nature du contexte même qui nous font croiser les baleines, les crabes et les poissons-clowns de près.
Jouant avec les éléments du corps, chaque animal va venir chatouiller de la tête aux pieds et rythmer ainsi le fil du récit par sa progression.
C'est juste une vague de plaisir, comme d'habitude.
Toujours prêt pour des explorations des merveilles naturelles, aiguiser son oeil d'admirateur scientifique et plonger dans son univers onirique.
Tout ceci s'est toujours vérifier avec son invitation au Musée la nuit, dans les bleus nocturnes de la faune sylvestre où nous étions aussi conviés à nous promener, dans les intérieurs et extérieurs lumineux caressés par son ami le chat ou dans les poches vidés de ses amis des Contes de Fées.
"Des vagues" ne fera pas défaut et la couverture de l'album donnera amplement raison.
Nous plongeront dans une mer bleu turquoise remplis d'animaux marins tous divers. Les tailles, les formes, les écailles peintes de couleurs concourent d'élégance et d'originalité.
Toujours dans un intention ludique conjuguée, Isabelle ouvre à la devinette, comme avec Plume, les rencontres marines nous font nous interroger sur le narrateur encore une fois et sur la nature du contexte même qui nous font croiser les baleines, les crabes et les poissons-clowns de près.
Jouant avec les éléments du corps, chaque animal va venir chatouiller de la tête aux pieds et rythmer ainsi le fil du récit par sa progression.
C'est juste une vague de plaisir, comme d'habitude.
