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Critique de Maroussia_Ivanovna
Beaucoup trop technique pour moi
Le titre semblait vouloir illustrer un principe opposé au rasoir d'Ockham et effectivement on se trouve embarqué dans une histoire que son auteur a absolument tenu à encombrer de précisions hyper techniques. Autrement dit, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ,
Le roman commence par un accident de car scolaire dont les causes, après analyse profonde du héros Darwin Minor (le petit Darwin, est-ce une allusion au grand ?) se révèlent plus complexes qu'elles ne paraissaient et font de l'héroïne la coupable. Je ne révèle pas grand chose car ce n'est que le début ; cet épisode est plié en quelques pages.
Avec ce domaine inexploité du rétablissement de la vérité dans les accidents de la route et, en somme, de la fraude aux assurance, je pensais me plonger dans des analyses de causes au service d'une intrigue complexe d'un genre nouveau.
Eh bien non.
Chaque objet est prétexte à sa description technique et à sa comparaison aux objets de même type. Comment peut-on appeler cela autrement que remplissage ? le summun, pour moi, se trouvant dans ce jeu aux règles et aux fins incompréhensibles où deux personnages s'envoient des noms de voitures (que je ne connais même pas) à la figure.
Je n'ai rien compris, je n'ai pas aimé, je n'ai pas fini. Mais rien ne vaut l'évaluation personnelle et certains semblent avoir aimé ce roman. Tentez votre chance !
Le titre semblait vouloir illustrer un principe opposé au rasoir d'Ockham et effectivement on se trouve embarqué dans une histoire que son auteur a absolument tenu à encombrer de précisions hyper techniques. Autrement dit, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ,
Le roman commence par un accident de car scolaire dont les causes, après analyse profonde du héros Darwin Minor (le petit Darwin, est-ce une allusion au grand ?) se révèlent plus complexes qu'elles ne paraissaient et font de l'héroïne la coupable. Je ne révèle pas grand chose car ce n'est que le début ; cet épisode est plié en quelques pages.
Avec ce domaine inexploité du rétablissement de la vérité dans les accidents de la route et, en somme, de la fraude aux assurance, je pensais me plonger dans des analyses de causes au service d'une intrigue complexe d'un genre nouveau.
Eh bien non.
Chaque objet est prétexte à sa description technique et à sa comparaison aux objets de même type. Comment peut-on appeler cela autrement que remplissage ? le summun, pour moi, se trouvant dans ce jeu aux règles et aux fins incompréhensibles où deux personnages s'envoient des noms de voitures (que je ne connais même pas) à la figure.
Je n'ai rien compris, je n'ai pas aimé, je n'ai pas fini. Mais rien ne vaut l'évaluation personnelle et certains semblent avoir aimé ce roman. Tentez votre chance !
