Je ne voulais pas me laisser abattre par les tragédies que l'existence nous réserve. J'estimais cependant, de la même façon, qu'il ne fallait pas se souvenir que des bonheurs et des succès que l'on avait connus. Si l'on considérait les joies d'un côté et les peines de l'autre, on ne parvenait pas à rendre compte de la réalité de la vie. L'existence était faite d'un mélange du pire et du meilleur. On ne pouvait pas les isoler. C'était une erreur que d'essayer.
Je me réjouissais des beaux mots de Jack : "Je ne pense pas utile que je me présente. Je suis l'homme qui a accompagné Jacqueline Kennedy à Paris, et j'ai adoré."