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Critique de Phoenicia
Petite relique de la PAL, j'attendais beaucoup de ce tome 1. Ce qui n'a fait qu'alimenter ma vive déception.
Nous sommes au XIVe s. Un chevalier français, troublé par son passif, se retrouve lié par un serment et sur le chemin d'une quête ésotérique non sans périls pour lui et ses proches. Les cours italiennes et allemandes mais également les autorités d'Avignon sont dans les coulisses, ourdissent complots et intrigues. le tout dans une atmosphère médiévale au cours de laquelle on sent la fin d'une époque : celle de la chevalerie, bientôt remplacée par une bureaucratie efficace.
Si l'immersion historique est plutôt réussie, le reste m'a beaucoup moins emballée. Pour l'intrigue, je ne comprends pas l'intérêt de suivre la famille De'Bruni. On me dira que c'est le premier tome. Pour autant, à mon sens, un premier tome doit te livrer un minimum d'éléments. Or ces histoires n'ont aucun lien si ce n'est les circonstances et cela les rend très artificielles. A quoi bon passer du temps à lire ces chapitres me suis-je demandé...
Même frustration : l'absence de réelle quête ésotérique. On l'effleure, on le suggère à demi-mots... Il faut vraiment s'accrocher. Quant à l'époque, oui une certaine violence existait mais je trouve que l'auteur la dépeint de manière systématique, notamment concernant les viols féminins. Un peu too much à mon goût.
Toutes ces raisons font que je n'ai pas si accrochée que cela à cette aventure. le tome 1 n'a, pour moi, pas rempli son rôle. Ma PAL immense et les deux déceptions consécutives vis-à-vis des récits de cet auteur font que pour moi la série s'arrête là.
Nous sommes au XIVe s. Un chevalier français, troublé par son passif, se retrouve lié par un serment et sur le chemin d'une quête ésotérique non sans périls pour lui et ses proches. Les cours italiennes et allemandes mais également les autorités d'Avignon sont dans les coulisses, ourdissent complots et intrigues. le tout dans une atmosphère médiévale au cours de laquelle on sent la fin d'une époque : celle de la chevalerie, bientôt remplacée par une bureaucratie efficace.
Si l'immersion historique est plutôt réussie, le reste m'a beaucoup moins emballée. Pour l'intrigue, je ne comprends pas l'intérêt de suivre la famille De'Bruni. On me dira que c'est le premier tome. Pour autant, à mon sens, un premier tome doit te livrer un minimum d'éléments. Or ces histoires n'ont aucun lien si ce n'est les circonstances et cela les rend très artificielles. A quoi bon passer du temps à lire ces chapitres me suis-je demandé...
Même frustration : l'absence de réelle quête ésotérique. On l'effleure, on le suggère à demi-mots... Il faut vraiment s'accrocher. Quant à l'époque, oui une certaine violence existait mais je trouve que l'auteur la dépeint de manière systématique, notamment concernant les viols féminins. Un peu too much à mon goût.
Toutes ces raisons font que je n'ai pas si accrochée que cela à cette aventure. le tome 1 n'a, pour moi, pas rempli son rôle. Ma PAL immense et les deux déceptions consécutives vis-à-vis des récits de cet auteur font que pour moi la série s'arrête là.
