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Critique de JunoR
J'ai eu beaucoup de mal à finir ce livre que j'ai trouvé très - très! - long. Je n'ai pas du tout aimé le style d'écriture et le personnage principal m'est resté détestable pendant plus de la moitié du roman. Ses doutes religieux sont peu crédibles, sa conversion est poussive. de manière générale, les personnages sont trop peu développés et leurs motivations restent très dichotomiques.
L'ensemble m'a semblé manquer d'équilibre tant dans le masculin/féminin que dans les différents points de vues théologiques et éthiques rencontrés. Et si ces deux déséquilibres (point de vue trop masculin et trop pro-chrétien) étaient compréhensibles et contextualisables dans "Quo Vadis?", ils m'ont semblé moins supportables dans un livre écrit presque un siècle plus tard.
Enfin, le rythme est franchement rébarbatif, surtout sur la fin où les différents chapitres sont espacés par des laps de temps de plus en plus grands. Cela produit un ensemble décousu, un manque d'élan et de cohésion narrative qui fait perdre tout son souffle à l'ouvrage...
Bref, si historiquement il paraît que le roman est très pertinent - ce que je ne remets pas en question - en tant que bonne histoire à lire ça m'a plutôt semblé une corvée. Vraiment dommage.
L'ensemble m'a semblé manquer d'équilibre tant dans le masculin/féminin que dans les différents points de vues théologiques et éthiques rencontrés. Et si ces deux déséquilibres (point de vue trop masculin et trop pro-chrétien) étaient compréhensibles et contextualisables dans "Quo Vadis?", ils m'ont semblé moins supportables dans un livre écrit presque un siècle plus tard.
Enfin, le rythme est franchement rébarbatif, surtout sur la fin où les différents chapitres sont espacés par des laps de temps de plus en plus grands. Cela produit un ensemble décousu, un manque d'élan et de cohésion narrative qui fait perdre tout son souffle à l'ouvrage...
Bref, si historiquement il paraît que le roman est très pertinent - ce que je ne remets pas en question - en tant que bonne histoire à lire ça m'a plutôt semblé une corvée. Vraiment dommage.
