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Critique de aliceintheothersideofthebooks
Quand j'ai commencé la lecture de ce livre, mes paupières étaient lourdes, très lourdes… mais je peux vous dire que rien que le prologue m'a donné un sacré coup de fouet ! Je n'aurais pas été contre que cela soit Harrison Ford en personne qui me le donne, euh, pardonnez-moi, je m'égare.
Cédric Sire, que j'appellerai désormais Sir Cédric, n'est peut-être pas un aventurier de l'arche perdu mais je retiendrai quand même quelques mots des titres des films de la saga d'Indiana Jones pour résumer l'histoire : perdu, maudit, croisade, crâne, destinée. C'est un sacré défi que je me lance mais allons-y !
Manon se voit impliquée dans une histoire aux relents méphitiques, si ce n'est diaboliques, par son frère Ariel (et même s'il nage en eaux troubles, il n'a absolument rien à voir avec la Petite Sirène, si ce n'est – bip de censure), un délinquant perdu depuis belle lurette et que Manon n'a de cesse de tirer du pétrin. Cette fois-ci, pourtant, tout se complique au fur et à mesure que le frère et la soeur tentent de se sortir de ce maudit mauvais pas, se lançant à corps perdu dans une croisade contre une secte satanique aux tentacules mortifères qui collectionne les corps, comme les crânes et autres restes osseux enterrés dans les jardins du Paradis peuvent en témoigner, et s'apprête à mettre fin à leur destinée pour récupérer une boîte mystérieuse.
Eh bê ! défi relevé ! Par contre, je ne suis pas sûre de parvenir à rédiger la suite de mon retour sur ce roman car j'ai maintenant la chanson de Guy Marchand qui me trotte dans la tête : « Destinée |On était tous les deux destinés | À voir nos chemins se rencontrer | À s'aimer sans demander pourquoi | Toi et moi ». Bon, ceci dit, il y a aussi une histoire d'amour qui, pour tout vous dire, m'a un peu fait froncer les sourcils (ou serait-ce un tic ?), car trop rapide à mon goût, même si par la suite tout s'explique.
En somme, je peux vous dire que, pour moi, Sir Cédric, à l'instar de Sir Elton John, occupe une place importante sur la scène non pas de la musique mais des thrillers français : des crimes effroyables et sans pareil dignes de figurer dans les livres de feu Monsieur Pierre Bellemare, une intrigue à décoiffer même les plus dégarnis, un rythme effréné qui vous ferait presque perdre haleine, des personnages empathiques côtoyant de vraies têtes à claques, ainsi que d'autres quidams qui cachent derrière une apparente affabilité une monstruosité sans limites, sans oublier un dénouement hop hop hop… Bref, du haut niveau.
Toutefois, histoire d'être un peu tatillonne, certains dialogues sont, ma foi, un peu trop soutenus et, en disant cela, je pense notamment à quelques phrases prononcées par Ariel. Je fais sans doute dans le cliché mais vu son comportement et les drôles d'oiseaux à l'allure pas très catholique qu'il fréquente (en même temps, vous me direz, pour un roman qui parle d'adorateurs du diable, c'est normal ! il n'allait quand même pas frayer avec des nonnes)…
Lien : https://www.instagram.com/al..
Cédric Sire, que j'appellerai désormais Sir Cédric, n'est peut-être pas un aventurier de l'arche perdu mais je retiendrai quand même quelques mots des titres des films de la saga d'Indiana Jones pour résumer l'histoire : perdu, maudit, croisade, crâne, destinée. C'est un sacré défi que je me lance mais allons-y !
Manon se voit impliquée dans une histoire aux relents méphitiques, si ce n'est diaboliques, par son frère Ariel (et même s'il nage en eaux troubles, il n'a absolument rien à voir avec la Petite Sirène, si ce n'est – bip de censure), un délinquant perdu depuis belle lurette et que Manon n'a de cesse de tirer du pétrin. Cette fois-ci, pourtant, tout se complique au fur et à mesure que le frère et la soeur tentent de se sortir de ce maudit mauvais pas, se lançant à corps perdu dans une croisade contre une secte satanique aux tentacules mortifères qui collectionne les corps, comme les crânes et autres restes osseux enterrés dans les jardins du Paradis peuvent en témoigner, et s'apprête à mettre fin à leur destinée pour récupérer une boîte mystérieuse.
Eh bê ! défi relevé ! Par contre, je ne suis pas sûre de parvenir à rédiger la suite de mon retour sur ce roman car j'ai maintenant la chanson de Guy Marchand qui me trotte dans la tête : « Destinée |On était tous les deux destinés | À voir nos chemins se rencontrer | À s'aimer sans demander pourquoi | Toi et moi ». Bon, ceci dit, il y a aussi une histoire d'amour qui, pour tout vous dire, m'a un peu fait froncer les sourcils (ou serait-ce un tic ?), car trop rapide à mon goût, même si par la suite tout s'explique.
En somme, je peux vous dire que, pour moi, Sir Cédric, à l'instar de Sir Elton John, occupe une place importante sur la scène non pas de la musique mais des thrillers français : des crimes effroyables et sans pareil dignes de figurer dans les livres de feu Monsieur Pierre Bellemare, une intrigue à décoiffer même les plus dégarnis, un rythme effréné qui vous ferait presque perdre haleine, des personnages empathiques côtoyant de vraies têtes à claques, ainsi que d'autres quidams qui cachent derrière une apparente affabilité une monstruosité sans limites, sans oublier un dénouement hop hop hop… Bref, du haut niveau.
Toutefois, histoire d'être un peu tatillonne, certains dialogues sont, ma foi, un peu trop soutenus et, en disant cela, je pense notamment à quelques phrases prononcées par Ariel. Je fais sans doute dans le cliché mais vu son comportement et les drôles d'oiseaux à l'allure pas très catholique qu'il fréquente (en même temps, vous me direz, pour un roman qui parle d'adorateurs du diable, c'est normal ! il n'allait quand même pas frayer avec des nonnes)…
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