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Critique de Enya75
L'intrigue, très bien ficelée, se déroule dans une Angleterre uchronique et victorienne version Steampunk, et si j'ai bien accroché avec ces ingrédients, j'ai moins aimé les protagonistes.
Modo, le héros, est pourtant très attachant, il est très brillant (peut-être trop pour un adolescent de 14 ans) mais hélas difforme et d'une laideur repoussante. Or il possède un extraordinaire pouvoir, celui de changer d'apparence et de structure osseuse... Quant à la jeune jouvencelle au passé compliqué qui n'a pas froid aux yeux, elle avait un petit air de déjà vu... Il y a aussi une beauté tueuse à la main mécanique, là aussi, un petit clin d'oeil à d'autres romans de ce type, mais pas déplaisant pour autant, et un chef protecteur, Mr Socrate, qui en amont, rachète Modo, enfant exploité par un couple de gitans, pour en faire un espion.
Après moult enseignements, Modo est brutalement lâché en plein Londres sans le sou, (là cela ne me plait moins) pour apprendre à se débrouiller seul, (il est déjà tellement seul...) sans la protection du réseau de contre-espionnage de Mr Socrate. Dans cette première mission, Modo et Miss Octavia doivent empêcher Mr Cornélius Hyde (hommage littéraire ? Tout comme Modo aurait quelque chose de Quasimodo...) et sa Confrérie de l'Horloge de détruire l'Empire Britannique.
J'ai aimé la plume, les description de Londres, un peu glauques parfois, mais réalistes, le coté Dickens de l'histoire m'a moins plu, mais... et je ne sais pas vraiment expliquer pourquoi, peut-être la tristesse qui entoure Modo... je n'ai pas totalement été embarquée, c'est pourtant un bon roman... Je vais lire le tome 2, peut-être, et je l'espère, que mon avis sera un brin plus positif.
Modo, le héros, est pourtant très attachant, il est très brillant (peut-être trop pour un adolescent de 14 ans) mais hélas difforme et d'une laideur repoussante. Or il possède un extraordinaire pouvoir, celui de changer d'apparence et de structure osseuse... Quant à la jeune jouvencelle au passé compliqué qui n'a pas froid aux yeux, elle avait un petit air de déjà vu... Il y a aussi une beauté tueuse à la main mécanique, là aussi, un petit clin d'oeil à d'autres romans de ce type, mais pas déplaisant pour autant, et un chef protecteur, Mr Socrate, qui en amont, rachète Modo, enfant exploité par un couple de gitans, pour en faire un espion.
Après moult enseignements, Modo est brutalement lâché en plein Londres sans le sou, (là cela ne me plait moins) pour apprendre à se débrouiller seul, (il est déjà tellement seul...) sans la protection du réseau de contre-espionnage de Mr Socrate. Dans cette première mission, Modo et Miss Octavia doivent empêcher Mr Cornélius Hyde (hommage littéraire ? Tout comme Modo aurait quelque chose de Quasimodo...) et sa Confrérie de l'Horloge de détruire l'Empire Britannique.
J'ai aimé la plume, les description de Londres, un peu glauques parfois, mais réalistes, le coté Dickens de l'histoire m'a moins plu, mais... et je ne sais pas vraiment expliquer pourquoi, peut-être la tristesse qui entoure Modo... je n'ai pas totalement été embarquée, c'est pourtant un bon roman... Je vais lire le tome 2, peut-être, et je l'espère, que mon avis sera un brin plus positif.
