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Critique de Sisley
Toni est une maman à la dérive. Dévastée par la mort brutale de son mari, elle survit grâce aux médicaments dont elle abuse. Elle jongle entre les humeurs de sa mère omniprésente mais dont elle ne peut se passer de l'aide, les exigences de sa patronne despotique et l'emménagement chaotique dans sa nouvelle maison, au coeur d'un lotissement populaire et peu accueillant. Son rayon de soleil est sa petite Evie de cinq ans. Jusqu'au jour où arrivant en retard pour aller chercher sa fille à l'école, Toni doit se rendre à l'évidence : l'enfant s'est volatilisée...
Si j'ai tourné rapidement les pages de ce thriller psychologique, j'ai déploré le fait qu'il multiplie les clichés et les personnages stéréotypés (la vieille fille en mal d'enfant, la femme stérile abonnée aux FIV qui elle aussi semble avoir des raisons de kidnapper Evie, la mère dépassée, la grand mère envahissante...).
Le personnage principal n'a fait naître chez moi aucune empathie: irresponsable, paumée, d'une naïveté confondante, elle n'est pas vraiment attachante.
Les fausses pistes s'enchaînent avant un final rocambolesque. Même si cette piste m'avait également traversé l'esprit, le dénouement arrive de manière brutale et assez grossière.
Bref, ce n'est pas un coup de coeur.
Si j'ai tourné rapidement les pages de ce thriller psychologique, j'ai déploré le fait qu'il multiplie les clichés et les personnages stéréotypés (la vieille fille en mal d'enfant, la femme stérile abonnée aux FIV qui elle aussi semble avoir des raisons de kidnapper Evie, la mère dépassée, la grand mère envahissante...).
Le personnage principal n'a fait naître chez moi aucune empathie: irresponsable, paumée, d'une naïveté confondante, elle n'est pas vraiment attachante.
Les fausses pistes s'enchaînent avant un final rocambolesque. Même si cette piste m'avait également traversé l'esprit, le dénouement arrive de manière brutale et assez grossière.
Bref, ce n'est pas un coup de coeur.
