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Critique de Calimero29
Trois temporalités (1968, les années 2000, 2022) et trois personnages principaux pour chaque période (Antoine, Diane et sa fille Marie, Lucy), en apparence sans lien les uns les autres lorsque le roman commence. Mais des secrets qui se dévoilent au fur et à mesure comme des poupées gigognes, une révélation en entraînant une autre, les relient tous.
L'auteure sait entretenir le mystère, le suspense et nous tient en haleine jusqu'au bout. On croit tout savoir jusqu'à ce que la plume machiavélique de Marjolaine Sloart fasse émerger un nouveau secret et rebatte les cartes du destin.
Ce roman traite de la mémoire transgénérationnelle et du poids inconscient des non-dits qui pèsent sur toute une lignée et peuvent créer un mal-être terrible chez celles et ceux qui en sont victimes.
Je regrette qu'un style un peu plat ne rende pas justice à un scénario très bien bâti et que l'absence d'une relecture attentive ait laissé passer des fautes de français agaçantes pour tout(e) lecteur/trice attaché(e) à la correction et à la beauté de la langue (Josefa engendra le rôle de mère au lieu d'endossa, il s'affectionna à l'enfant, s'opposer générait chez eux la craindre de la perdre, les prouesses techniques qu'avaient fait preuve les anciens, elle se résolut dans l'immédiat qu'une bonne marche lui ferait du bien.....).
L'auteure sait entretenir le mystère, le suspense et nous tient en haleine jusqu'au bout. On croit tout savoir jusqu'à ce que la plume machiavélique de Marjolaine Sloart fasse émerger un nouveau secret et rebatte les cartes du destin.
Ce roman traite de la mémoire transgénérationnelle et du poids inconscient des non-dits qui pèsent sur toute une lignée et peuvent créer un mal-être terrible chez celles et ceux qui en sont victimes.
Je regrette qu'un style un peu plat ne rende pas justice à un scénario très bien bâti et que l'absence d'une relecture attentive ait laissé passer des fautes de français agaçantes pour tout(e) lecteur/trice attaché(e) à la correction et à la beauté de la langue (Josefa engendra le rôle de mère au lieu d'endossa, il s'affectionna à l'enfant, s'opposer générait chez eux la craindre de la perdre, les prouesses techniques qu'avaient fait preuve les anciens, elle se résolut dans l'immédiat qu'une bonne marche lui ferait du bien.....).
