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Critique de boreale
Pour ne rien vous cacher je suis une fille pleine de préjugés,
( voui c'est maaaal je sais, mais j'essaie de me soigner :-)
et c'est vrai qu'en ouvrant ce livre je me suis dit:
"bon voilà l'occasion d'en savoir plus et sûrement de voir que les "gitans" ne sont pas comme on dit, patati patata , fini les voleurs de poules etc" ...
Eh bien... euh ...
Concernant le vol,
disons que d'entrée nous sommes fixés :
voler les "gadjé, les "blancs", c'est pas vraiment du vol.
ok. bon ben vu sous cet angle , forcément ...
:-) Et puis dans la foulée le petit Andrejko se trouve enrôlé par son oncle pour aller mendier, voler, etc.
Quelle famille ...
Un festival de portraits crasseux, alcoolisés, violents ...
Et pourtant ...
Voilà qu'au fil des pages les préjugés tombent un à un,
Et on comprend les poches pleines de vent et de soleil,
on comprend la liberté au fond des yeux ...
Il y a de la passion dans ce livre là.
De la douleur aussi ,
Car quelle place pour Andrejko, le Dunka,
ballotté dans ce monde qui change,
méprisé et rejeté par les blancs,
perdu face à ses racines qui volent en éclats,
tiraillé entre le béton et le vent ?
J'ai aimé , fort, cette lecture.
( ... et rien à voir avec la choucroute mais : la photo de la couverture du bouquin me fascine, j'ai réellement passé de longues minutes à la scruter, observer les visages, les détails, etc ... elle raconte mille histoires cette photo ) ( la suite est à lire ici : http://blabliblo.canalblog.com/archives/2009/02/20/12634332.html )
Lien : http://blabliblo.canalblog.c..
( voui c'est maaaal je sais, mais j'essaie de me soigner :-)
et c'est vrai qu'en ouvrant ce livre je me suis dit:
"bon voilà l'occasion d'en savoir plus et sûrement de voir que les "gitans" ne sont pas comme on dit, patati patata , fini les voleurs de poules etc" ...
Eh bien... euh ...
Concernant le vol,
disons que d'entrée nous sommes fixés :
voler les "gadjé, les "blancs", c'est pas vraiment du vol.
ok. bon ben vu sous cet angle , forcément ...
:-) Et puis dans la foulée le petit Andrejko se trouve enrôlé par son oncle pour aller mendier, voler, etc.
Quelle famille ...
Un festival de portraits crasseux, alcoolisés, violents ...
Et pourtant ...
Voilà qu'au fil des pages les préjugés tombent un à un,
Et on comprend les poches pleines de vent et de soleil,
on comprend la liberté au fond des yeux ...
Il y a de la passion dans ce livre là.
De la douleur aussi ,
Car quelle place pour Andrejko, le Dunka,
ballotté dans ce monde qui change,
méprisé et rejeté par les blancs,
perdu face à ses racines qui volent en éclats,
tiraillé entre le béton et le vent ?
J'ai aimé , fort, cette lecture.
( ... et rien à voir avec la choucroute mais : la photo de la couverture du bouquin me fascine, j'ai réellement passé de longues minutes à la scruter, observer les visages, les détails, etc ... elle raconte mille histoires cette photo ) ( la suite est à lire ici : http://blabliblo.canalblog.com/archives/2009/02/20/12634332.html )
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