Pour des hommes comme ceux du peloton du Feldwebel Urbas, la mécanique c'était l'ennemie ! Et les gros véhicules qu'ils de¬vaient conduire à travers la Russie enneigée, des monstres qui ne méritaient pas la moindre tendresse. Chose normale pour ces hommes qui venaient de la campagne ; ils étaient tous, le sous-officier compris, des paysans de Poméranie, de braves gens simples, sincères, aimant la terre et les animaux domestiques.
Et le jour où la gra...
>Voir plus