Ce livre n'est rien de plus que de la psychologie de comptoir où tout est répété encore et encore pendant 230 pages.
Soral n'est pas connu pour son ton élégant, cet écrit nous en donne une magnifique preuve. Son vocabulaire sonne trop vulgaire pour être pris au sérieux.
Si vous êtes un tantinet familier avec le concept du complexe d'Oeudipe, et le fait que les mauvaises mères font des garçons mal dans leur peau (très étonnant...), lire ce livre ne vous apportera rien du tout.
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