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Critique de IreneAdler
En tout humain sommeille un animal, plus ou moins domestiqué.
C'est cet animal qu'Isabelle Sorente souhaite réveiller, secouer. Et pour elle, les femmes en sont le meilluer moyen, entrainées qu'elles sont à se mettre à la place des autres en restant à la leur (et nous ne parlons pas ici d'empathie), à ne pas voir de limites aux espaces, à résister aux conditionnements (merce à la littérature et à la religion, mondes d'hommes beaucoup fréquentés par les femmes).
C'est aller au-delà des traditionnelles luttes féministes (il les faut, mais ne pas s'y arrêter). Pour sortir du cycle de la consommation et de l'oubli de soi, de la restriction, de la mesquinerie. Pour se trouver soi, pour comprendre notre monde en ouverture/fermeture constante. Pour sortir de la construction sociale du genre et de nos conditionnements.
Un petit article :
http://www.cafaitdesordre.com/blog/?p=4720
C'est cet animal qu'Isabelle Sorente souhaite réveiller, secouer. Et pour elle, les femmes en sont le meilluer moyen, entrainées qu'elles sont à se mettre à la place des autres en restant à la leur (et nous ne parlons pas ici d'empathie), à ne pas voir de limites aux espaces, à résister aux conditionnements (merce à la littérature et à la religion, mondes d'hommes beaucoup fréquentés par les femmes).
C'est aller au-delà des traditionnelles luttes féministes (il les faut, mais ne pas s'y arrêter). Pour sortir du cycle de la consommation et de l'oubli de soi, de la restriction, de la mesquinerie. Pour se trouver soi, pour comprendre notre monde en ouverture/fermeture constante. Pour sortir de la construction sociale du genre et de nos conditionnements.
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