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Critique de BazaR


Les premières « virtù » de ce volume sont fantastiques ! C'est la conclusion dramatique des événements qui nous tiennent en haleine depuis quelques tomes. Cesare gère la situation avec autant de brio que Sherlock Holmes. Les traitres sont dévoilés mais attention, ils ont des couteaux (tadaamm !) et Angelo fait encore oeuvre d'héroïsme naïf. C'est comme un réflexe chez lui.
Bon, je n'ai pas décroché avant que cette partie soit terminée. Fuyumi Soryo nous fait bien danser sur son petit doigt en nous présentant un Cesare tour à tour sympathique et généreux puis retors et sans scrupules.

Puis la tension retombe et on repart pour une période d'interlude dont j'espère qu'elle ne sera pas trop longue. Oh, l'auteure commence à disposer ces briques neuves : Cesare doit arrêter de jouer au petit condottiere et se préparer à jouer son rôle de cardinal. le focus sur le clan Borgia à Rome est intéressant, forçant le trait sur les frérots de Cesare. Mais le passage sur la rencontre et l'éducation de Cesare et Miguel m'a quelque peu ennuyé. A nouveau Fuyumi veut brouiller les pistes en insistant sur la jeunesse du héros, elle nous force à éprouver de la compassion, voire de l'amour pour lui, et ni vu ni connu elle remet sa partie sombre dans… l'ombre justement. Je n'ai pas envie de me laisser piéger, moi, na !

Verrai-je bientôt un Cesare conforme à sa légende noire ? Dark Vador va-t-il apparaître derrière Anakin ? Je l'espère. (Ha, ha ha, ha ha ! – rire cruel)
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