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Critique de Prudence
Profondément excédée par certaines initiatives comme le PNNS (Programme National Nutrition Santé) qui est un guide pour développer des TCA (Troubles du Comportement Alimentaire) et contient des hérésies nutritionnelles, les encouragements à manger de la viande, ou des édulcorants etc. et bien trop rarement à écouter ses sensations alimentaires (faim, satiété), à ne faire que manger (pas de télévision, de téléphone, d'ordinateur...) pendant les repas, à favoriser les produits peu transformés (cuisiner soi-même) qui me semblent être des bases alimentaires, il me semblait donc évident que je devais lire ce livre.
J'avais déjà entendu des critiques suites aux conclusions de Su.Vi.MAX. Ici ces critiques sont plus complètes, développées, détaillées et expliquées.
Le livre est critique, il a une approche scientifiques.
Les agences gouvernementales de nutrition et santé sont noyautées par les industries: les recommandations, les publications, les manifestations sont autant de pub déguisées; et sont souvent financées par l'Europe et l'État (donc les contribuables).
Les auteurs insistent sur les nombreux conflits d'intérêt aux conséquences criminelles.
L'administration digne d'un cauchemar kafkaïen délirant. L'incompétence crase de pseudo-scientifiques qui rédigent les lois avec beaucoup de choses (portefeuilles, mauvaise foi...) mais pas avec leurs cerveaux.
Un long chapitre est dédié à une bataille judiciaire où la bêtise et la mauvaise foi se font concurrence pour condamner des compléments alimentaires comme des drogues malgré les preuves de leur innocuité.
J'avais déjà entendu des critiques suites aux conclusions de Su.Vi.MAX. Ici ces critiques sont plus complètes, développées, détaillées et expliquées.
Le livre est critique, il a une approche scientifiques.
Les agences gouvernementales de nutrition et santé sont noyautées par les industries: les recommandations, les publications, les manifestations sont autant de pub déguisées; et sont souvent financées par l'Europe et l'État (donc les contribuables).
Les auteurs insistent sur les nombreux conflits d'intérêt aux conséquences criminelles.
L'administration digne d'un cauchemar kafkaïen délirant. L'incompétence crase de pseudo-scientifiques qui rédigent les lois avec beaucoup de choses (portefeuilles, mauvaise foi...) mais pas avec leurs cerveaux.
Un long chapitre est dédié à une bataille judiciaire où la bêtise et la mauvaise foi se font concurrence pour condamner des compléments alimentaires comme des drogues malgré les preuves de leur innocuité.
