AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Tatooa


Ou comment Annick de Souzenelle, en s'adressant à notre mental, essaie de forcer le passage et de permettre à "l'Esprit" de nous atteindre.

Force est de constater que ça ne marche pas tellement bien.
Voici ci-après mon avis d'il y a plusieurs années, mis ici en 2013 mais j'avais lu ce livre bien avant cela, vers 2007 je pense, et c'était trop tôt, j'étais attirée, mais pas prête...

Je me cite, donc, mdr ! :
"Un livre pas forcément facile (comme tous ceux d'A. de Souzenelle), quoi que plus abordable que certains autres (je pense à l'alliance de feu en particulier).
Elle donne une lecture particulière des dix plaies d'Egypte, plaies d'un peuple, faisant un parallèle avec des blessures intérieures, et personnelles.
Cela parle surtout à ceux que notre monde révolte, ceux que le dieu Argent n'a pas mis à sa botte, je pense. La "verticalité", fruit du travail sur une "semence divine", sur laquelle elle nous offre un éclairage est malheureusement bien rare dans le monde actuel..."

Aujourd'hui, ce livre parle à mon âme, car je vis ce qu'elle tente d'expliquer à notre esprit "cartésien".
Et quand j'en étais restée à l'intellect, certes, cela m'attirait, mais je n'y "entendais" rien.
Aujourd'hui, le chant secret qu'Annick nous dévoile ré-enchante mon monde et m'ouvre les yeux sur le sens des souffrances traversées depuis le tout début de ma vie, car elles ont commencé très tôt dans mon cas. Je vais pas dire que c'est facile, ça ne l'est pas... Mais soit on se réveille, soit... Je sais pas. Ne vit-on pas déjà une vie de mort-vivant ? Je m'interroge...

Mais je me nourris de ses livres (que je relis, vu que certains sont dans ma bibliothèque depuis 20 ans et que je n'y avais strictement rien compris, il va falloir que je reprenne l'Alliance de Feu, du coup, lol), de ses vidéos sur Youtube et je suis en chemin.
J'espère que beaucoup d'autres suivront, quels que soient les "maîtres" qu'ils se choisissent (pourvu que c'en soit de véritables, les escrocs fleurissent et je n'ai pas échappé au piège, perdue que j'étais au début des années 2000). Elle n'est pas ma seule source d'inspiration... Car toutes les traditions ont de justes fondations. Mais en ce moment, elle est ma principale, on va dire.
Merci Annick.
Commenter  J’apprécie          160



Ont apprécié cette critique (14)voir plus




{* *}