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Critique de baloo
Trois nouvelles :
"Chair à pavé". Dans une amérique où l'écart entre les classes sociales s'est creusé à l'extrême : une majorité est sans-abri, leur nourriture principale reste les rats pour peu qu'ils en trouvent, quelques nantis, vivant dans des quartiers réservés sécurisés, qui ne se promènent qu'escorté de gardes du corps et pilotes d'hélicoptères, rares métiers qui permettent à certains de vivre (survivre?). Pour ces derniers, la moindre faute professionnelle entraine un retour à la rue et aux rats.
" Chroniques de l'Age du Fléau " : pour ma part la meilleure nouvelle du livre. le fléau (sida) frappe massivement la planète, les humains sont régulièrement dépistés, badgés, camps de concentration où on parque les contaminés, ... et un vaccin à détruire pour préserver des intérêts financiers d'un groupe pharmaceutique.
" La vie continue " : l'auteur se projette dans le futur, s'imaginant être courtisé par une industrie cinématographique pour réaliser un film à partir de son roman, mais dont le contrat prévoit en contrepartie qu'il mette fin à son journal indépendant. Nouvelle assez décevante, peu d'intérêt n'amène guère de réflexions.
"Chair à pavé". Dans une amérique où l'écart entre les classes sociales s'est creusé à l'extrême : une majorité est sans-abri, leur nourriture principale reste les rats pour peu qu'ils en trouvent, quelques nantis, vivant dans des quartiers réservés sécurisés, qui ne se promènent qu'escorté de gardes du corps et pilotes d'hélicoptères, rares métiers qui permettent à certains de vivre (survivre?). Pour ces derniers, la moindre faute professionnelle entraine un retour à la rue et aux rats.
" Chroniques de l'Age du Fléau " : pour ma part la meilleure nouvelle du livre. le fléau (sida) frappe massivement la planète, les humains sont régulièrement dépistés, badgés, camps de concentration où on parque les contaminés, ... et un vaccin à détruire pour préserver des intérêts financiers d'un groupe pharmaceutique.
" La vie continue " : l'auteur se projette dans le futur, s'imaginant être courtisé par une industrie cinématographique pour réaliser un film à partir de son roman, mais dont le contrat prévoit en contrepartie qu'il mette fin à son journal indépendant. Nouvelle assez décevante, peu d'intérêt n'amène guère de réflexions.
