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Critique de Arlavor


J'ai retrouvé la petite Enola avec beaucoup de plaisir.

La jeune fille se fait assez bien à la vie à Londres. Pour une enfant de quatorze ans, elle se débrouille très bien. Elle s'est trouvé une chambre, un bureau pour installer son cabinet pour les recherches et les disparitions. Elle se fait passer pour la secrétaire du Dr, Miss Ivy Meshle (Holmes = meshol= meshle)

Elle reçoit son premier client, le Dr Watson qui vient pour son ami Sherlock Holmes car celui-ci est inquiet pour sa jeune soeur. Sherlock ne sait pas que Watson est allé consulter ce docteur car Sherlock pourrait vraiment mal le prendre. Watson évoque une affaire avec Ivy-Enola.

Enola ne s'occupe évidemment pas de l'affaire de Watson, même si elle le recroisera plusieurs fois dans le roman, préférant s'occuper de l'affaire de la disparition d'une jeune fille âgée de 16 ans, Lady Alistair. On entre dans une histoire qui met en scène les bas-fonds de Londres, les niveaux sociaux les plus faibles, les ouvriers et les reformes sociales, les anarchistes, les marxistes...

Enola se lance dans l'enquête. Elle découvre que la vie n'est pas rose (elle se fait agresser en pleine rue) et utilise principalement ses qualités de déguisement, autant impressionnantes que celles de son frère. Frère que l'on rencontre à de nombreuses reprises bien que ce soit assez bref. Dommage, j'aurais aimé le voir plus souvent mais ses apparitions sont toutes sympathiques. Il semble vraiment s'inquiéter pour sa soeur et veut vraiment la retrouver pour s'assurer qu'elle va bien. On lui découvre un véritable sens de la famille.


Un deuxième tome un peu plus intéressant que le premier. J'ai hâte de lire la suite.
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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