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Critique de florencem
Ayant beaucoup aimé les deux premiers tomes de la saga, impossible d'attendre pour me lancer dans la conclusion de la trilogie le repaire des vampires. A peine sortie et déjà englouti. J'avais hâte de savoir comment nos deux héros allaient se sortir de l'Ingenium et surtout si leur relation allait en pâtir ou s'en trouver renforcer.
Basi se retrouve dans une position délicate. Elle a dû mentir à pas mal de ses proches pour pouvoir sauver Tommy, et elle doit maintenant en subir les conséquences. Sans compter qu'elle joue toujours double jeu vis-à-vis des vampires. Et pour ne pas faciliter les choses, elle se rend également compte qu'elle a des sentiments pour Kyros qui vont au-delà du lien qu'ils partagent. Elle doit maintenant sauver ses amis, les Débiteurs qu'elle a pris sous son aile, ainsi que la famille de l'homme qu'elle aime. Et ses ennemis sont loin d'être des enfants de coeur…
Pour un dernier tome, on ne peut pas dire que le repaire des vampires n'est pas un chouia anxiogène. Même si je n'avais pas forcément de doute sur la fin, et que je n'ai pas eu de réelles surprises tout au long de ma lecture, j'appréhendais que certains personnages perdent des plumes dans l'affrontement final. Sans compter la relation entre Basi et Kyros qui allait être mise à rude épreuve. Comme peut l'indiquer ma note, je n'ai pas été déçue du début à la fin. le style est toujours aussi fluide et prenant, il y a de l'action, et on ne s'ennuie pas une seule seconde. J'aime autant le travail sur les relations entre les personnages que sur le déroulement de l'intrigue. On se prend clairement au jeu, et Kelly St. Clare a fait un super travail concernant ses héros.
Je pourrais longuement m'attarder sur la relation entre Kyros et Basi, parce que clairement, la saga est centrée sur eux, et j'ai aimé leur jeu du chat et de la souris. Chacun blesse l'autre pour des raisons qu'ils pensent légitimes et ils doivent apprendre à mieux gérer leur façon d'être et à faire des compromis. Mais il y a aussi beaucoup d'autres relations que j'ai trouvé géniales. Toujours centrée sur notre héroïne, certes, mais qui sont à des degrés différents et qui offrent tout un panel d'émotions et d'interactions : Tommy, Fred, les Débiteurs, les amis d'Agatha, la famille de Kyros… L'histoire gravite autour de la confiance, et cela depuis le début. C'est quelque chose d'effrayant, car cela équivaut à être vulnérable et c'est aussi un sentiment qui demande beaucoup, notamment de l'honnêteté et ça… ce n'est pas gagné vu les jeux de chacun.
Autre chose que j'ai adoré dans cette saga : Basilia. Kelly St. Clare a fait de son personnage quelqu'un d'à part, je trouve. Une jeune femme intelligente, rusée, avec un grand coeur, mais qui peut aussi se montrer frivole ou superficielle. Elle est toutes ces facettes que je trouve géniales et qui très souvent « ne vont pas ensemble » selon de très nombreux préjugés. Basi ne rentre dans aucune case, et elle se joue même de ses « défauts ». le message derrière ce personnage donne ce petit plus qui fait une grande différence.
Quant à Ingenium. le jeu se poursuit et même si l'on est moins dans la stratégie comme dans les deux premiers tomes, l'étau se resserre. Des choix vont devoir être pris. Et Kelly St. Clare joue encore une carte à ce niveau-là que j'ai trouvé subtile et en même temps percutante. Il faut parfois changer son point de vue, ses objectifs en fonction de ce qui nous entoure et de la personne que l'on veut devenir. Même si le repaire des vampires est de la bit-lit, l'auteur ne se cantonne pas à une romance et un univers superficiel. Il y a de très bons messages.
La fin nous offre un épilogue avec un petit saut dans le temps qui permet de clôturer comme il se le doit la saga. J'en suis très satisfaite à tous les niveaux. J'ai passé un agréable moment avec le repaire des vampires, une histoire alliant action et sentiments avec sa dose de surnaturel. J'ai vraiment hâte de me pencher sur d'autres romans de l'auteur.
Basi se retrouve dans une position délicate. Elle a dû mentir à pas mal de ses proches pour pouvoir sauver Tommy, et elle doit maintenant en subir les conséquences. Sans compter qu'elle joue toujours double jeu vis-à-vis des vampires. Et pour ne pas faciliter les choses, elle se rend également compte qu'elle a des sentiments pour Kyros qui vont au-delà du lien qu'ils partagent. Elle doit maintenant sauver ses amis, les Débiteurs qu'elle a pris sous son aile, ainsi que la famille de l'homme qu'elle aime. Et ses ennemis sont loin d'être des enfants de coeur…
Pour un dernier tome, on ne peut pas dire que le repaire des vampires n'est pas un chouia anxiogène. Même si je n'avais pas forcément de doute sur la fin, et que je n'ai pas eu de réelles surprises tout au long de ma lecture, j'appréhendais que certains personnages perdent des plumes dans l'affrontement final. Sans compter la relation entre Basi et Kyros qui allait être mise à rude épreuve. Comme peut l'indiquer ma note, je n'ai pas été déçue du début à la fin. le style est toujours aussi fluide et prenant, il y a de l'action, et on ne s'ennuie pas une seule seconde. J'aime autant le travail sur les relations entre les personnages que sur le déroulement de l'intrigue. On se prend clairement au jeu, et Kelly St. Clare a fait un super travail concernant ses héros.
Je pourrais longuement m'attarder sur la relation entre Kyros et Basi, parce que clairement, la saga est centrée sur eux, et j'ai aimé leur jeu du chat et de la souris. Chacun blesse l'autre pour des raisons qu'ils pensent légitimes et ils doivent apprendre à mieux gérer leur façon d'être et à faire des compromis. Mais il y a aussi beaucoup d'autres relations que j'ai trouvé géniales. Toujours centrée sur notre héroïne, certes, mais qui sont à des degrés différents et qui offrent tout un panel d'émotions et d'interactions : Tommy, Fred, les Débiteurs, les amis d'Agatha, la famille de Kyros… L'histoire gravite autour de la confiance, et cela depuis le début. C'est quelque chose d'effrayant, car cela équivaut à être vulnérable et c'est aussi un sentiment qui demande beaucoup, notamment de l'honnêteté et ça… ce n'est pas gagné vu les jeux de chacun.
Autre chose que j'ai adoré dans cette saga : Basilia. Kelly St. Clare a fait de son personnage quelqu'un d'à part, je trouve. Une jeune femme intelligente, rusée, avec un grand coeur, mais qui peut aussi se montrer frivole ou superficielle. Elle est toutes ces facettes que je trouve géniales et qui très souvent « ne vont pas ensemble » selon de très nombreux préjugés. Basi ne rentre dans aucune case, et elle se joue même de ses « défauts ». le message derrière ce personnage donne ce petit plus qui fait une grande différence.
Quant à Ingenium. le jeu se poursuit et même si l'on est moins dans la stratégie comme dans les deux premiers tomes, l'étau se resserre. Des choix vont devoir être pris. Et Kelly St. Clare joue encore une carte à ce niveau-là que j'ai trouvé subtile et en même temps percutante. Il faut parfois changer son point de vue, ses objectifs en fonction de ce qui nous entoure et de la personne que l'on veut devenir. Même si le repaire des vampires est de la bit-lit, l'auteur ne se cantonne pas à une romance et un univers superficiel. Il y a de très bons messages.
La fin nous offre un épilogue avec un petit saut dans le temps qui permet de clôturer comme il se le doit la saga. J'en suis très satisfaite à tous les niveaux. J'ai passé un agréable moment avec le repaire des vampires, une histoire alliant action et sentiments avec sa dose de surnaturel. J'ai vraiment hâte de me pencher sur d'autres romans de l'auteur.
