Plus j'écoutais M. Gellis, plus il me semblait que la plupart des histoires de fantômes n'évoquaient pas seulement la mort, mais aussi un désespoir et un malheur insondable. Les gens heureux ne laissaient pas de fantômes derrière eux ; ou alors des fantômes calmes, qui restaient dans leur coin ou erraient sur les rives de leurs ruisseaux favoris sans jamais déranger les vivants.