Je viens de refermer
dernière nuit à Montréal et comme avec les autres romans d'
Emily St John Mandel, l'impression qui reste une fois le livre fini est d'avoir rêvé l'histoire plutôt que l'avoir lu, par petites touches et aller-retours, on découvre l'histoire que l'on finit par oublier une fois....le rêve terminé.
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