J'englobe les tome 3 et 4 dans une même notice, en fait les deux volets de la deuxième époque, 1950. Comme dans les séries, il y a des épisodes de transition. L'essoufflement est perceptible et compréhensible sur la longueur. le
Balzac norvégien n'a pas le coffre de son illustre prédécesseur.
Toutefois, les époques s'enchaînent. Voici l'après-guerre, les années 50 et l'amorce des années 60. Même perdu dans la descendance des différentes généalogies, des rappels au passé nous nous maintiennent dans le flux. Je suis heureux d'arriver au terme d'un siècle de saga. Je suis curieux de vois comment
Staalesen va boucler le cercle narratif.
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